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QUAND, adv. et conj.
I. − Adv. interr. interrogeant sur le moment (passé, présent ou à venir) ou la période (heure, jour, date, époque...) où se situe une action ou un état.
A. − [Dans l'interr. dir.] À quel moment? En quel temps?
1. [Avec invers. du suj. pronom.] Quand la jeune fille lui apparut-elle? (Barrès, Barbares, 1888, p. 87).Quand vous verrai-je? murmura-t-il, très bas (Huysmans, Là-bas, t. 2, 1891, p. 37).Quand revient-elle, ton Américaine? (Bourdet, Sexe faible, 1931, i, p. 257).
En partic. [Avec le prés., le fut. ou le fut. proche, dans une question marquant l'impatience, la colère...] Quand donc...; quand enfin allez-vous cesser de...? Il soupira au dedans de lui-même: − Quand tomberont les écailles des yeux du cardinal-archevêque, afin qu'il voie l'indignité de ce prêtre? (A. France, Orme, 1897, p. 14).V. donc II A 1 a ex. de Apollinaire.
[Dans une question rhét.] Quand donc fut-elle jamais plus florissante? (Villiers de l'I.-A., Contes cruels, 1883, p. 85).
En empl. ell. Quand? Maintenant (Malraux, Cond. hum., 1933, p. 203).
Rem. 1. Fam., dans la lang. orale, en fin de phrase, sans invers. du suj.: La réception serait quand? (Druon, Gdes fam., t. 2, 1948, p. 27). 2. Quand peut se rapporter au verbe de la complét. tout en figurant dans la princ.: Quand pensez-vous qu'il viendra? Quand voulez-vous que je vienne? (Peyré, Matterhorn, 1939, p. 68). Il peut de même porter sur l'inf. et non sur le verbe conjugué: Quand pensez-vous venir?
[Suivi d'un inf. délibératif] V. comment ex. 7.
2. [Renforcé par est-ce que (sans invers. du suj.), surtout dans la lang. orale] V. est-ce que B 1 c.
Pop. ou région.
(notamment Anjou, Normandie, Canada). Quand c'est que ...? [Les fainéants voyagent gratis]. Voir un roi, hein? Quand c'est qui paye sa place, quand, allez? (Musette, Cagayous chauffeur, 1909, p. 8).Quand c'est que tu vas à la ville? (Canada1930).
(notamment Ouest et Canada). Quand que ...? Quand qu'i va venir? (Canada 1930).
3. [Précédé de prép. et renforcé ou non par est-ce que] À quand...? De quand...? Depuis quand...? (v. depuis I B 2 c). Jusqu'à quand...? (v. jusque(s) I A 2 c). Pour quand...? Jusqu'à quand va-t-il tenir tant de place? (Colette, Naiss. jour, 1928, p. 8).
En empl. ell. Boubouroche un peu étonné. Depuis quand? (Courteline, Boubouroche, 1893, i, 2, p. 26).À quand la réconciliation? (Beauvoir, Mandarins, 1954, p. 463).
B. − [Dans l'interr. indir.]
1. [Non précédé de prép.] C'est une lettre d'une dame russe que je ne connais pas, me demandant quand paraîtra le prochain volume de mon journal (Goncourt, Journal, 1896, p. 958).Enfin, Monsieur, on se demande vraiment quand les gouvernements vont se décider à prendre l'attitude énergique (Malraux, Conquér., 1928, p. 11).
[Suivi d'un inf. délibératif] Conduit au combat, chaque soldat paraissait un chef, chaque chef un soldat; ils savaient quand avancer ou s'arrêter (Chateaubr., Paradis perdu, 1836, p. 23).
Loc. temp. indéf. Dieu* sait quand. Je ne sais quand. V. espèces B ex.
2. [Précédé de prép.] Je ne puis dire exactement à quand remontent les premières manifestations de cet esprit d'insoumission (Gide, Robert, 1930, p. 1322).Puis-je vous demander depuis quand vous le connaissez? (Billy, Introïbo, 1939, p. 14).
Rem. Empl. subst. masc. V. comment III B ex. de Mérimée.
II. − Adv. rel. temp. [En fonction de rel. dans des tournures d'indétermination, notamment avec des verbes impers., et signifiant « au moment où », « chaque fois que », « à n'importe quel moment où » (fait isolé ou répété)] Quand il le faut; quand bon me semble; quand il vous plaira; quand vous voudrez; quand vous pourrez. Quoique je fusse également décidée à partir de là pour t'aller trouver quand et où tu voudrais (Staël, Lettres div., 1794, p. 612).Perdre la vie est peu de chose et j'aurai ce courage quand il le faudra (Camus, Caligula, 1944, ii, 2, p. 34).
Rem. V. comment I B 2 c rem.
III. − Conj. de sub. temp.
A. − [Valeurs temp.]
1. [Pour marquer la simultanéité avec le fait exprimé par le verbe de la princ.] Au moment où, dans le temps que. Synon. lorsque (lang. écrite).
a) [Le verbe de la sub. marque un intervalle clos (au passé simple, au fut., au prés. hist., à un temps comp. signifiant l'antériorité temp.) ou s'y réfère] Quand il entra dans la chambre conjugale, MmeBombard n'y était pas (Maupass., Contes et nouv., t. 1, Bombard, 1884, p. 974).Quand j'ai vu mes méthodes confirmées par l'expérience, je n'ai eu qu'une hâte (Romains, Knock, 1923, i, p. 5).Quand le docteur arrive enfin, la nuit tombe (Gide, Feuillets d'automne, 1949, p. 1090).
Loc. adv., au fig., fam. [Signifiant « jamais, dans le futur »] Quand les poules auront des dents (v. dent C 4); quand il fera chaud (v. chaud II A 1 b). Loc. synon. aux calendes* (grecques), à la saint-Glinglin* (fam.), la semaine des quatre jeudis*, trois semaines* après jamais.
b) [Le verbe de la sub. marque, à un temps comp. ou surcomposé, une valeur d'accompli] Dieu a baisé ma main quand j'ai eu fini d'écrire ceci (Montherl., Encore inst. bonh., 1934, p. 690).Je vous le dirai quand je l'aurai vu (Mauriac, Asmodée, 1938, i, 7, p. 51).Quand le juge et tous les acolytes se furent éloignés, ils se rapprochèrent prudemment (Bosco, Mas Théot., 1945, p. 209).
c) [Le verbe de la sub., empl. à l'imp., marque la période passée où se situe l'action de la princ.] Quand j'étais enfant, j'étais extrêmement froussard (Gide, Journal, 1924, p. 800).
Rem. Quand le verbe sub. marque un intervalle limité, il peut s'employer exceptionnellement à l'imp. pour signifier que cet intervalle englobe celui du verbe princ. et pas l'inverse: Maman pleurait de joie quand je lui lisais cette lettre triomphante. Je suis heureux (Id., ibid., 1891, p. 23).
d) [Le verbe de la sub. (au prés. ou à l'imp.) marque un fait habituel ou possède une valeur gnomique] Quand le chat* est parti, les souris dansent. Quand on parle du loup*, on en voit la queue. Quand le vin est tiré, il faut le boire (v. boire1). Quand un homme ressortait, elle se levait, le questionnait des yeux (Zola, Assommoir, 1877, p. 1551).Y a des livres qu'il faut lire à la ville, près du feu, quand la famille est couchée (Goncourt, Journal, 1890, p. 1110).Le petit esclave ne sait pas que lui aussi, quand il dort, il gémit (Montherl., Encore inst. bonh., 1934, p. 693).
(Là*) où..., c'est quand...
Rem. 1. Quand se coordonne en étant repris par que (v. ou I B 1 quand... ou que...) ou en se répétant. Ce fut un trait de lumière subit, quand l'union se fit entre ces domaines différents, quand l'alizé du nord-est, déjà pratiqué jusqu'aux Canaries, eut porté Colomb jusqu'à la mer des Caraïbes, et quand, d'autre part, eut été vaincu l'obstacle du cap des Tempêtes (Vidal de La Bl., Princ. géogr. hum., 1921, p. 268). Il peut être coordonné à une rel. à valeur temp. Le jour où elle m'avait annoncé le second mariage de ma mère et quand j'avais prononcé de moi-même le nom maudit de Termonde pourquoi m'avait-elle demandé...? (Bourget, A. Cornélis, 1887, p. 143). 2. Quand que, pop. ou région. (Canada). J'irai chez vous, quand qu'on se comprendra mieux (Dionne 1909). J'ai rien vu, puisque je suis seulement entrée à votre service quand que la défunte maîtresse était venue à être si malade (Martin du G., Testam. P. Leleu, 1920, I, p. 1145).
2. [Quand ne dépend pas d'un verbe princ.]
a) [Se rapporte à une indication lex. de temps] Nana croyait retourner à ses débuts, quand sa première robe de soie lui avait causé un si gros plaisir (Zola, Nana, 1880, p. 1291).Nous revoici à l'époque d'Homère quand les déesses présidaient d'un nuage aux batailles des héros (Barrès, Serv. All., 1905, p. 34).
b) [Comme compl. d'une princ. ell.] Quelle émotion quand s'arrêta devant leur grille la voiture de M. de Faverges (Flaub., Bouvard, t. 1, 1880, p. 110).Justement cette amitié rend plus étrange son attitude, quand j'ai prononcé votre nom (Bourget, Lazarine, 1917, p. 26).
[En partic., dans une prop. compar.] Les voilà qui se penchent tout d'un coup, comme les cigognes quand passe un rat (Giraudoux, Guerre Troie, 1935, i, 4, p. 39).
3. Fam. [Introd. une sorte de compl., dans la lang. parlée relâchée, après des verbes comme remarquer, aimer, détester] Je déteste quand il dit cela. V. aimer ex. 125 et 126.
[Précédé d'une prép.] Quelques bons mots, quelques répliques heureuses, que je vais mettre de côté pour quand j'irai te voir, ces jours-ci (Villiers de L'I.-A., Corresp., 1884, p. 30).
B. − [Valeurs circ. ou log.]
1. [Quand causal] À partir du moment où, du moment que. Synon. dès* lors que, puisque, là où* (au fig.).Quand j'ai fait ça, je ferai bien le reste! (Péladan, Vice supr., 1884, p. 207):
1. Mais à quoi bon poser à Rachel des questions, quand il savait d'avance que la réponse serait ou un simple silence ou un mensonge ou quelque chose de très pénible pour lui et qui ne décrirait rien? Proust, Guermantes 1, 1920, p. 163.
2. [Quand hyp. ou hypothético-adversatif] Et voyez-vous, c'est beaucoup, quand on peut mettre sur ses cartes: architecte du gouvernement (Zola, Pot-Bouille, 1882, p. 10):
2. Un homme est heureux, Clarisse, quand il dispose pour sa pensée, pour sa vie, d'un aliment toujours présent, d'un thème infatigable en sa fécondité. Audiberti, Quoat, 1946, 1ertabl., p. 29.
[Avec valeur restr. de renchérissement, suivi de ce n'est pas ou d'une nég.] Je ne quitte jamais la rue Cambon avant huit heures et demie, quand ce n'est pas neuf, et je n'ai qu'une envie, c'est de me coucher! (Bourdet, Sexe faible, 1931, i, p. 258).Je le reconduisais jusqu'au boulevard Raspail − quand ce n'était pas jusqu'à sa porte (Martin du G., Souv. autobiogr., 1955, p. 71).
3. [Quand adversatif constr. avec le prés. ou l'imp., plus rarement avec le cond., en dehors des valeurs régulières d'itération ou d'imperfectivité large et lorsque la sub. suit la princ.] Synon. alors* que, tandis* que, quoique, même* si.Vous m'avez cherché quand je ne vous demandais rien! (Loti, Pêch. Isl., 1883, p. 130):
3. Tu es tout de même très gentil d'être venu me voir quand tu aurais pu aller t'amuser ailleurs. Zola, Bête hum., 1890, p. 47.
Quand (bien) (même) + cond. V. même III C.
C. − [La valeur subordonnante est estompée]
1. [En sub. inverse, avec valeur d'accélération du récit (quand « de péripétie » ou quand « inverse »), lorsque la temp., postposée, contient le fait principal; la prop. princ. est souvent à l'imp. et la prop. sub. postposée est au passé simple ou au prés. hist.] Et j'étais vraiment très heureux quand soudain, lundi dernier, tout craque (Maupass., Contes et nouv., t. 1, Épingles, 1885, p. 1090).
2. [Avec valeur intensive ou affective]
a) [En phrase indép. exclam.]
[avec des verbes comme penser, songer, évoquer, pour marquer une valeur affective de surprise, d'étonnement, d'admiration, etc.] Quand je pense (à)...! Quand je pense (que)...! Quand je pense à tout ce que mes parents ont fait pour essayer de me guérir! (P. Margueritte, Simple histoire, 1895, p. 114 ds Sand. t. 2 1965, § 179).V. penser II B 1 a ex. de Jarry.
[avec des verbes comme dire, raconter, pour justifier une assertion] Quand je vous (le) disais (que)...! Je vous le disais bien (que)...! Là! quand je vous disais qu'il ne lui manquait plus qu'une bonne petite femme (A. Daudet, Fromont jeune, 1874, p. 53).
b) Fam. [Dans la lang. parlée, en phrase ell. indép., pour marquer l'impatience, la colère, l'ordre de cesser qqc.] Quand vous aurez fini de bavarder, fainéants! cria la rude voix de Maheu (Zola, Germinal, 1885, p. 53).
c) [Dans une phrase ell. de la lang. parlée que le loc. laisse à l'interlocuteur le soin de compléter] Je n'ai pas peur d'eux, moi. Quand on n'a rien à se reprocher (Romains, Le Crime de Quinette, 1932, p. 77 ds Sand., loc. cit.).
[En interr. ell.] Mais, quand la pendule s'arrêtait? (Pesquidoux, Livre raison, 1932, p. 23).
3. [En tête de phrase, dans la lang. littér., journalistique, publicitaire, dans des titres de chapitres, d'articles, de romans, de films, pour annoncer le thème qui va être développé; senti comme adv. rel. (à rapprocher de , adv. rel.)] Quand la mer se retire (roman d'Armand Lanoux); Quand passent les cigognes (film soviétique).
IV. − [Dans des loc. adv. ou prép.]
A. − Loc. adv. N'importe quand (v. importer I C 3); quand même (v. même III C).
B. − Vx ou région. (notamment Anjou et Poitou)
1. Loc. prép. Quand (et), quand et quand (suivi gén. d'un nom de pers. ou d'un pron. pers.). Avec, en même temps que, en compagnie de. [La féodalité] fit du serf attaché à la glèbe un soldat sous la bannière de sa paroisse; on le vendoit encore quand et quand la terre (Chateaubr., Ét. ou Disc. hist., t. 3, 1831, p. 366).Et ton petit air martial Chantait aussi quand les trompettes (Verlaine, Œuvres compl., t. 2, Amour, 1888, p. 93).
2. Loc. adv. Quand et quand. En même temps. Elle n'avait plus personne (...) pour badiner honnêtement quand et quand, en paroles de bonne foi et de bonne humeur (Sand, Fr. le Champi, 1848, p. 22).
REM.
Quand est-ce, subst. masc.,arg. (des typographes et de plusieurs corps de métiers). Tournée de bienvenue offerte par un nouveau à ses collègues. Les nouveaux venus payant leur « quand est-ce », les stations dans les assommoirs (...). Jack ne se mêlait à rien (A. Daudet, Jack, t. 2, 1876, p. 220).
Prononc. et Orth.: [kɑ ̃]. [kɑ ̃t] en liaison lorsque le mot est conj.: quand il est venu [kɑ ̃til-]; autrement pas de liaison: quand irez-vous [kɑ ̃iʀe-] (Fouché Prononc. 1959, pp. 463 et 477). Homon. camp, khan. Att. ds Ac. 1694. Étymol. et Hist. A. Conj. exprimant une relation temp. de concordance, de simultanéité 1. a) 1050 « dans le même temps que » (Alexis, éd. Chr. Storey, 98); b) id. reprise de quant par une expr. temp. en tête de la princ. (ibid., 72); c) 1100 la prop. sub. est constr. en appos. à un compl. circ. de temps (Roland, éd. J. Bédier, 2845); d) ca 1150 élargissement périphrastique de quant par une prop. (Charroi de Nymes, éd. G. de Poerck, 220: quant ce fut chose que tu ëus mengié, ge...); e) 1170-83 reprise de la conj. par le supplétif que (Wace, Rou, éd. A. J. Holden, 965a); f) 1558 quand constr. avec une prép. a quand (Des Périers, Nouvelles récréations, éd. K. Kasprzyk, p. 13); 1628-30 de quand (D'Aubigné, Sa vie a ses enfants, éd. Réaume et Caussade, I, 12); 2. ca 1050 quant à valeur causale « comme, puisque » (Alexis, 150); 3. 1100 quant à valeur adversative « alors que » (Roland, 302 d'apr. Imbs Prop., p. 113); 4. id. empl. complétif de quant « de ce que » (ibid., 1196, ibid.); 5. 1176 quant à valeur conditionnelle « au cas où » (Chrétien de Troyes, Cligès, éd. A. Micha, 997: quant de ma boche le savroit Je cuit que plus vil m'en avroit); 1573 quand mesme + cond. (Jodelle, Didon, éd. Marty-Laveaux, I, 60); 1580 quand bien + cond. (Montaigne, Essais, I, 25, éd. P. Villey et V.-L. Saulnier, 138); 6. loc. a) ca 1240 quant et « avec » (Mort Aymeri de Narbonne, 275 ds T.-L.); b) 1491 quant et quant « en même temps » (Commines, Mém., I, 10, éd. J. Calmette, I, p. 69). B. 1100 adv. interr. (Roland, 528). Du lat. quando à la fois conj. et adv. interr. Fréq. abs. littér.: 99 819. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 129 039, b) 144 346; xxes.: a) 161 829, b) 139 737. Bbg. Antoine (G.). À propos de « quand... » Fr. mod. 1948, t. 16, pp. 269-273. − Borillo (A.). Qq. rem. sur quand connecteur temp. Lang. fr. 1988, n o77, pp. 71-91. − Chetrit (J.). Synt. de la phrase complexe à sub. temp. Paris, 1976, pp. 76-107. − Eyot (Y.). Quand... Fr. mod. 1948, t. 16, p. 108. − Fuchs (C.), Léonard (A.-M.). Vers une théorie des aspects. Paris − La Hague − New York, 1979, pp. 169-174. − Galet (Y.). Les Corrélations verbo-adverbiales au niveau de la phrase complexe en fr. classique. Fr. mod. 1975, t. 43, p. 339, 344. − Imbs Prop. 1956, pp. 33-116. − Jayez (J.). Quand bien même pourtant, pourtant quand même... Cah. Ling. fr. Genève. 1982, n o4, pp. 189-217. − Martin Temps 1971, pp. 309-321. − Métral (J.). À partir d'Agora. Cah. Ling. fr. Genève. 1982, n o4, pp. 221-224. − Moeschler (J.), Spengler (N. de). La Concession ou la réfutation interdite. Cah. Ling. fr. Genève. 1982, n o4, pp. 20-27; Quand même. Cah. Ling. fr. Genève. 1981, n o2, pp. 93-112. − Morel (M.-A.). Ét. sur les moy. gramm. et lex. propres à exprimer une concession en fr. contemp. Thèse, Paris, 1980, pp. 296-298, 468-513, 570-571, 703-708, ... − Olsson (L.). Ét. sur l'emploi des temps ds les prop. introd. par quand et lorsque... Uppsala, 1971, 148 p. − Sundell (L.-G.). Rem. sur quand suivi de l'imp. St. neophilol. 1984, t. 56, pp. 69-84.