VOLAPÜK, subst. masc.
Étymol. et Hist. 1887 p. métaph. pour désigner quelque chose de faux, d'artificiel, ici un faux-cul (
Hogier-
Grison,
Monde où l'on vole, p. 232); 1889 (
Macé,
Mes lundis, p. 248). Terme forgé par le prêtre all. de la région de Constance Johann Martin Schleyer [1831-1912], qui inventa le lang. ainsi désigné. Formé de
vol, issu p. altér. de l'angl.
world « monde », d'une voy. de liaison
-a-, et de
pük, issu p. altér. de l'angl.
speak (forme de
to speak « parler »), ce mot fut répandu vers 1880 (v.
NED et
Brockhaus Enzykl.).