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VESTIBULE, subst. masc.
Étymol. et Hist. A. 1. a) Av. 1483 « pièce d'entrée d'un édifice » ici, au fig. (J. Molinet, Dictier sur Tournay, 121 ds Faictz et Dictz, éd. N. Dupire, t. 1, p. 185); 1500 (O. de Saint-Gelais, Les Eneydes de Virgile, L. VI, éd. Th. Brückner, 1275); b) 1545 (S. Serlio, Reigles generales de l'Architecture, trad. de l'ital. par P. C. van Aelst, 19 rod'apr. M. Cagnon, S. Smith ds Cah. Lexicol. t. 19, p. 107); 2. 1770 au fig. (D'Holbach, Systême de la nature, t. 1, p. 300: Comment songer à se rendre heureuses [les nations] dans une terre qui n'est que le vestibule d'un royaume éternel?). B. Anat. 1. 1690 désigne une cavité de l'oreille interne (Fur.); 2. 1835 anat. fém. (J. Hatin, Cours complet d'accouchemens, p. 29 ds Quem. DDL t. 8); 3. 1935 vestibule laryngé (Arts et litt., p. 36-4). Empr., d'abord directement au lat.vestibulum « vestibule, entrée » (A 1 a; d'où aussi la forme demi-sav. vestible, att. aux xiveet xvies., v. Gdf. et Hug.), puis à l'ital. vestibolo « id. » (dep. 1532, L'Arioste, forme vestibulo; vestibolo chez S. Serlio, cf. A 1 b; v. Cort.-Zolli).