Police de caractères:

Surligner les objets textuels
Colorer les objets :
 
 
 
 
 
 

Entrez une forme

notices corrigéescatégorie :
VALENCE2, subst. fém.
Étymol. et Hist. 1. 1879 chim. (A. Wurtz, La Théorie atomique, Paris ds Bibl. sc. internat., t. 27, p. 56 et p. 155); 2. p. anal. a) 1921 « possibilité de communication, possibilité de liaison » (Warcollier, La Télépathie, p. 43 t p. 272); b) 1926 psychol. valence affective (R. Laforgue, Schizophrénie et schizonoïa in R. fr. de psychanal., 1reannée, no1, p. 7 ds Quem. DDL t. 29); c) 1936 biol. valence des gènes (Cuénot, J. Rostand, Introd. génét., p. 42); d) 1953 ling. (L. Tesnière, Esquisse d'une synt. struct., p. 5); e) 1969 écol. (Plais.); 1975 électron. et informat. (Le Garff); 3. 1927 p. ext. « faculté à exprimer une valeur ou notion particulière » (Dam.-Pich. t. 1 1968 [1911-27],100); 1932 (Ovio, Vision coul., p. 281: valences optiques [= valeurs élémentaires de stimulation]). Empl. comme subst. autonome de l'élém. -valence de termes de chim. comme monovalence (1868, v. monovalent étymol.) où la forme -valence trad. l'all. -valenz (cf. en 1865 quantivalenz, en 1868 subst. Valenz d'apr. NED Suppl.2, s.v. valence) ou -valentigkeit (1864, Wurtz d'apr. Cottez 1982). L'angl. avait trad. le lat. valentia « force, vigueur, courage, faculté » par les 2 formes valence et valency et les a employées d'apr. l'all. en chim. (1868 valence, 1869 valency ds NED Suppl.2, v. aussi NED), d'où l'empl. p. anal. de valence en psychol. (1917 ds NED Suppl.2).