TUYÈRE, subst. fém.
Étymol. et Hist. 1. 1389
toiere « ouverture pratiquée à la partie inférieure et latérale d'un fourneau, destinée à recevoir le tuyau des soufflets » (
Invent. de Rich. Picque, p. 37 ds
Gdf. Compl.);
ca 1455
tuyere (
Comptes des mines de Jacques Cœur, A. N., KK 329, f
o185 v
o,
ibid.);
2. 1947 « conduit terminal d'une turbine à gaz dans lequel se produit la détente qui fournit l'énergie propulsive » (A.
Labarthe,
La Vie commence demain, p. 241 ds
Quem. DDL t. 30);
3. 1968 parach. (
Lar. encyclop. Suppl.). Issu, par substitution de suff., de
tuyau*.