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Traînerie, subst. fém.attest. a) 1555 « maladie de langueur » (George de La Bouthière, Des Prodiges, p. 44), b) 1560 trainnerie « pêche à la traîne » (Reg. du bailliage de Mortagne, ms. appartenant à M. Bocquillet ds Gdf.), c) 1601 traînerie de propos « fait de traîner, de durer trop » (P. Charron, Sag., II, 9, p. 413 ds Gdf. Compl.), d) 1616 « action de traîner, de s'attarder » (D'Aubigné, Hist., II, 61 ds Littré), e) 1760 « discours traînant, longueurs de paroles » (J. J. Rousseau, Lett. à Mmede Luxembourg, 12 déc., ibid.), f) 1798 « lenteur dans l'exécution d'un morceau de musique » (Id., Confess., VI, II, 2epart., ibid.); de traîner, suff. -erie*.
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