SÉTIM, subst. masc.
Étymol. et Hist. Ca 1175
sechim (
Thomas de Kent, Roman de toute chevalerie, éd. B. Foster, 4373);
ca 1300
sethim (
Macé de La Charité, Bible, éd. J. R. Smeets, t. 1, 4426: boys de
sethim; 4604: autier [autel] de
sethim);
ca 1330
sethin (
G. de Digulleville, Pélerinage vie hum., éd. J. J. Stürzinger, 3436: bos
Sethin); 1
remoit.
xvies.
setin (
E. Médicis, Chron., éd. A. Chassaing, t. 1, p. 26: boys de
setin); av. 1729
setim (
J. Meslier, Mémoire des pensées et sentiments, éd. R. Desné, t. 1, p. 359: bois de
setim). Empr. au lat.
setim (
Vulgate, Exode, 25, 5 et
passim:
ligna setim, de lignis setim) et celui-ci à l'hébr.
shiṭṭ
ι
̄m, plur. de
shiṭṭā
h« acacia », prob. d'orig. égyptienne.