STELLÉ, -ÉE, adj.
Étymol. et Hist. 1. 1541 « étincelant »
au Capitolle stellé et illuminé (G.
Michel, trad.
Suétone, I, 17 r
ods
Hug.), attest. isolée; à nouv. fin
xviiies. 1784 « qui a la forme d'une étoile »
les formes stellées ou rayonnantes de ses palmes (
Bern. de St-P.,
Ét. nature, t. 2, p. 186);
2. 1887 « parsemé d'étoiles » ici, p. anal. « piqué comme d'étoiles » (Fr.
Viélé-
Griffin,
Les Cygnes ds
Plowert 1888:
Stellé de becs de gaz et voilé de fumée). Dér. du lat.
stella, v.
étoile; suff.
-é*;
Ac. Compl. 1842 atteste le verbe
steller « briller comme une étoile » (et son part. passé
stellé), dér. du lat.
stella, dés.
-er.