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SOMMET, subst. masc.
Étymol. et Hist. 1. a) Déb. du xiies. « point le plus élevé d'une chose verticale » (Benedeit, S. Brendan, éd. I. Short et Br. Merrilees, 495: sumet); b) ca 1170 sumet d'un munt (Rois, éd. E. R. Curtius, p. 53); c) 1306 sommet du chief (Guillaume Guiart, Royaux Lignages, II, 119, 67 ds T.-L.); d) 1833 méd. présentation du sommet (J. de méd. et de chir. pratiques, IV, p. 102 ds Quem. DDL t. 8); 2. a) 1357 fig. sommet d'honneur (Guillaume de Machaut, Confort d'ami, 2976 ds Œuvres, éd. E. Hoepffner, t. 3, 105); b) α) 1925 au sommet de « au niveau le plus élevé des responsables » (B. Souvarine, À contre-courant, Ecrits, 1925-29, 78-9 ds doc. DDL); β) 1958 conférence au sommet (Mauriac, Nouv. Bloc-Notes, p. 81); 3. 1680 sommet de la piramide (Rich., s.v. piramide); 1691 sommet d'une courbe (Ozanam d'apr. FEW t. 12, p. 429a). Dér. de l'a. fr. som « sommet » (ca 1135, Couronnement de Louis, éd. Y. G. Lepage, Rédaction AB, 2498); du lat. summum « le sommet, le plus haut, le point le plus élevé », neutre pris subst. de l'adj. summus « qui est au point le plus haut », v. aussi somme1; suff. -et*. Conférence au sommet est prob. un empr. à l'angl. summit conference (v. Rey-Gagnon Anglic. 1981).