SÈCHE1, subst. fém.
Étymol. et Hist. A. 1. Déb.
xives.
seches « terres qui restent à sec à marée basse » (
Jean de Vignay,
Li Livres Flave Vegece de la chose de chevalerie, éd. L. Löfstedt, IV, 43, 3);
2. 1515
secques « haut-fonds apparaissant seulement à marée basse » (
Du Redouer,
Sensuyt le nouveau monde et navigations faictes par Emeric Vespuce Florentin..., f
oVI v
o); 1619
seches (
Le Grand routier de mer de Jean de Linschot, p. 6 ds
Arv., p. 459).
B. 1880
piquer une sèche « avoir une mauvaise note » (
Larch. Suppl.); 1883
id. « ne savoir que répondre » (
ibid., p. 145). A empr. à l'ital.
secca «
id. », att. dep. le
xives. (
Boccace ds
Tomm.-
Bell.), propr. fém. subst. de l'adj.
secco « sec ». B fém. subst. de
sec*.