RÉVOCABLE, adj.
Étymol. et Hist. 1. 1275 « qui peut être cassé, annulé » (
Chartes et doc. poit. du XIIIes., éd. M. S. La Du, n
o353, 8: por manere de perpetuau e de non
revocable don);
2. a) ca 1500 « dont le titulaire peut être destitué » (
Débat de l'Omme mondain et du Religieux, 204 ds
Anc. Poés. fr., t. 13, p. 205: office ...
revocable);
b) 1680 « qui peut être destitué » (
Rich.: commis
revocable). Empr. au lat.
revocabilis « qui peut être rappelé, renvoyé à son point de départ », dér. de
revocare (
révoquer*); suff.
-bilis (
-able*).