RÉNOVATEUR, -TRICE, subst. et adj.
Étymol. et Hist. 1. 1555 subst.
rénovatrice (F.
de Billon,
Le Fort inexpugnable, 122b d'apr.
Vaganay ds
Rom. Forsch. t. 32, p. 151); 1835 adj.
idée rénovatrice (
Lamart.,
Voy. Orient, t. 1, p. 340);
2. 1939 « substance qui rajeunit » (
Fargue,
Piéton Paris, p. 87); 1963 (
Barb.-
Cad.:
Rénovateur. Préparation à faible action décapante, utilisée pour le ravivage de vieux films de vernis ou peintures). Empr. au b. lat.
renovator « celui qui répare, restaurateur de », dér. du rad. du supin de
renovare (v.
rénover).