REPOSÉE, subst. fém.
Étymol. et Hist. a) Ca 1150
a une reposee « d'une traite, tout à son aise » (
Le Conte de Floire et Blanchefor, éd. J.-L. Leclanche, 2420), également dans les expr.
a reposees, par reposees « plusieurs fois », att. jusqu'au déb. du
xviies. (
Sorel,
Francion, éd. E. Roy, t. 1, p. 129);
b) ca 1170 « action de se reposer, halte » (
Guillaume de Saint-
Pair,
Mont St Michel, éd. P. Redlich, 3504), vivant jusqu'au
xvies. (v.
Hug.), ne subsiste que dans le domaine de la vén. (sens att. dep. 1376,
Modus et Ratio, éd. G. Tilander, § 8, 13). Part. passé subst. au fém. de
reposer2*.