PIERRÉE, subst. fém.
Étymol. et Hist. 1. 1669
pierrée «petit conduit pour l'écoulement des eaux» (ds
Comptes des bâtiments du roi sous le règne de Louis XIV, éd. J.-J. Guiffrey, t.1, p.341);
2. 1869 (
Littré: Construction par
pierrée). Dér. de
pierre*; suff.
-ée*.
Cf. l'a. m. fr.
perree «mesure de capacité surtout pour grain» (1297,
Cart. de S. Aubin, Arch. Côtes-du-Nord ds
Gdf. −
xives., et encore usité dans le département des Côtes-du-Nord, v.
Gdf.), et le m. fr.
pierree «dalle» (1431,
Compte d'ouvrages, 6
eSomme de mises, A. Tournai ds
Gdf. Compl.); v. aussi
perré.