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PIERRIER, subst. masc.
Étymol. et Hist. I. a) 1174-75 perrier «chemin caillouteux» (Guernes de Pont-Ste-Maxence, St Thomas, éd. E. Walberg, 5949); 1400 perreyer «carrière de pierres» (Terrier S. Didier, fo30 vo, Arch. hospit. Nevers ds Gdf.); b) 1752 (Trév.: On appelle Pierrier en quelques Provinces [Morvan, Berry, Suisse, cf. FEW t.8, p.323a] un gros tas de pierres. Dans les endroits montueux les pierriers sont utiles pour la réparation des grands chemins); 1842 (Ac. Compl.: Pierrier. Puits plein de pierres, destiné à recevoir les eaux surabondantes qui viennent à la surface labourable ou dans la masse du sol). II. a) Ca 1225 perrier «machine de guerre qui jette des pierres», v. perrier 1 b; b) 1616 pierrier (D'Aubigné, Hist. universelle, éd. A. de Ruble, livre IV, chap. 19, t.2, p.323); 1690 (Fur.). I du b. lat. petrarium «carrière» St-Cyprien ds Blaise lat. chrét., dér. de petra «pierre». II dér. de pierre*; suff. -ier*; v. aussi perrier. Les formes pier- d'apr. pierre*.