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OFFICIER2, subst. masc.
Étymol. et Hist. A. 1327 «celui qui détient un office, une charge» (Cartulaires de Hainaut ds Monuments pour servir à l'hist. des provinces de Namur, de Hainaut et de Luxembourg, éd. L. Devillers, t.3, p.771); spéc. a) fin xives. officier de justice (Jean Froissart, Chron., L. II, 499, éd. G. Raynaud, t.11, p.305); b) 1470 officier d'armes «héraut» (doc. ds Arch. curieuses de l'hist. de France, t.1, p.29 ds Bartzsch, p.151); c) 1680 officier de santé «médecin, apothicaire, chirurgien» (Rich.); 1804 id. «médecin autorisé à exercer sans avoir le titre de docteur en médecine» (Code civil, art. 236, p.44); d) 1790 officier municipal (Robespierre, Discours, Pétit. peuple avign., t.6, p.592); e) 1804 officier de l'état civil (Code civil, L. 1, p.9); f) 1807 officier ministériel (décret du 16 févr. ds Les Codes fr., Paris, 1868, p.540). B. 1. 1529 «marin détenteur d'un grade lui permettant d'exercer le commandement» (Traité de paix avec Charles-Quint, in Rec. gén. des anc. lois fr., t.12, p.326 ds Quem. DDL t.12); 2.1704 «grade dans les ordres honorifiques» (Trév.). Empr. au lat. médiév. officiarius «personne pourvue d'une charge» (dep. xe-xies. ds Nov. gloss.), dér. de officium (office1*).