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NOCTURNE, adj. et subst.
Étymol. et Hist. A. Adj. 1. 1355 «qui se fait, qui a lieu la nuit» (Bersuire, Tite-Live, B.N. 20312ter, fo36 vods Gdf. Compl.); 2. 1581 «qui est propre à la nuit, sombre, obscur (en parlant de l'enfer)» (Flaminio de Birague, L'Enfer de la mère Cardine ds Satires françaises du XVIes., II, 53); 3. 1606 vision nocturne (Nicot); 1767 «qui sort la nuit» (Malfilâtre, Narcisse, 1 ds Littré). B. Subst. 1. a) ca 1250 «chacune des trois parties de l'office des matines» (Règle Cistercienne, 414 ds T.-L.); b)1812 mus. «pièce vocale» (Jouy, Hermite, t.2, p.266); 2. 1805 subst. masc. plur. «animaux rapaces» (Cuvier, Anat. comp., t.2, p.249); 3.a) 1896, 12 juill. réunions nocturnes «rencontres sportives qui ont lieu en soirée» (Le Vélo ds Petiot 1982); 1924, 25 mai subst. fém. (La Pédale, ibid.); 1932, 28 janv. en nocturne (L'Auto, ibid.); b) 1967, 16 oct. «ouverture en soirée de certains magasins» (L'Express ds Gilb. 1980). Empr. au lat. nocturnus «de la nuit», «qui agit dans les ténèbres, pendant la nuit».