MÔLE1, subst. masc.
Étymol. et Hist. 1. Fin 
xves. «massif de maçonnerie construit à l'extrémité d'une jetée, à l'entrée d'un port» (
G. de Villeneuve, 
Mémoires, éd. J. A. C. Buchon, p.273); 
2. 1694 
môle d'Adrien «tombeau de cet empereur à Rome» (
Corneille); 
3. 1866 géol. (
Taine, 
loc. cit.).  Empr. à l'ital.
 molo (
xives. ds 
Batt.), lui-même empr. au b. gr. μ
               ω
               ́
               λ
               ο
               ς, μ
               ο
               ́
               λ
               ο
               ς (
cf. lat. 
moles «masse; digue» d'où 1174 a. fr. 
mole «moellon, grosse pierre», 
G. de Pont-
Ste-
Maxence, 
St Thomas, éd. E. Walberg, 3363).