MÂCHE, subst. fém.
Étymol. et Hist. 1611 (
Cotgr.).   Prob. issu par aphérèse et sous l'infl. de 
mâcher1*, du synon. 
pomache (s.d. [peut-être 
xvies., v. 
Romania t. 33, p. 596] ds 
Leroux de Lincy, 
Livre des proverbes fr., t. 2, 1842, p. 341, append.: Après la response, faut manger de la 
pomache [Bourgogne]; att. dans plusieurs dial., notamment de Bourgogne et de Champagne), issu du lat. vulg. 
*pomasca, dér. de 
pomum «fruit» (peut-être en raison du goût légèrement sucré de la mâche, 
cf. l'appellation 
doucette de cette salade) à l'aide du suff. 
-asca indiquant l'origine, l'analogie; 
FEW t. 9, p. 156a, 158a, b.