MANTIQUE, subst. fém. et adj.
Étymol. et Hist. I. 1578 
mantice subst. «divination» (
G. Le Fevre, Galliade, 59 ds 
Z. rom. Philol. t. 29, p. 74), attest. isolée; à nouv. en 1887 
mantique (A. et M. 
Croiset, Hist. de la litt. grecque, t. 1, p. 506 ds 
R. Philol. fr. t. 43, p. 46). 
II. 1587 
manthique adj. (
Cholières, 8eAprès-disnée, p. 354 ds 
Hug.), attest. isolée, à nouv. 
ca 1891 
mantique (
Gde Encyclop. t. 14, p. 733b, 
s.v. divination).  I empr. au gr. μ
               α
               ν
               τ
               ι
               κ
               η
               ́ «art de la divination», issu p. ell. de μ
               α
               ν
               τ
               ι
               κ
               η 
               τ
               ε
               ́
               χ
               ν
               η «
id.» (μ
               α
               ν
               τ
               ι
               κ
               ο
               ́
               ς, v. 
infra; τ
               ε
               ́
               χ
               ν
               η «art»). II empr. au gr. μ
               α
               ν
               τ
               ι
               κ
               ο
               ́
               ς «de devin, prophétique», dér. de μ
               α
               ́
               ν
               τ
               ι
               ς «devin, prophète, personne qui prédit l'avenir».