MÉLIORATIF, -IVE, adj.
Étymol. et Hist. 1. 1486 «qui sert à améliorer» (
La tresample et vraye Expos. de la reigle M.S. Ben., f
o19a, éd. 1486 ds
Gdf.); 1531 «qui rend meilleur» (
Miroir historial, IX, 18, éd. 1531 ds
Delb. Notes mss), attest. isolées;
2. a) 1897 adj. ling. «qui est propre à présenter l'énoncé sous un jour favorable» (M.
Bréal, Essai de Sém., ch. IX, p.103 d'apr. A.
Jourjon ds
R. Philol. fr. t.45, p.167);
b) 1933 subst. ling. «terme propre à présenter l'énoncé sous un jour favorable» (
Mar.,
loc. cit.). Formé sur
meliorare (v.
mélioration), au sens 2 d'apr.
péjoratif*; suff.
-(at)if*.