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LECTURE, subst. fém.
Étymol. et Hist. I. 1. Ca 1350 « instruction, enseignement » (Gilles li Muisis, Poésies, éd. K. de Lettenhove, I, 106); 2. ca 1380 « texte liturgique » (Jeh. des Preis, Geste de Liege, 38632 ds Gdf.); 3. id. « savoir acquis en lisant » (Id., ibid., 6502 ds Gdf.); 4. 1445 « action de lire, à haute voix » (Livre Roisin, éd. Brun- Lavainne, 415), 1561 « action de lire, pour soi » (J. Grevin, Gelodacrye, éd. L. Pinvert, p. 344); 5. 1676 « ce qu'on lit » (Mmede Sévigné, Lettres, éd. M. Monmerqué, t. 5, p. 43); 6. 1741 « action de déchiffrer toute espèce de notation (ici la musique) » (M. Corette, Méthode de violoncelle, 1); 7. 1789 « chacune des discussions auxquelles est soumise un projet de loi » (Règl. du 29 juillet ds Brunot t. 9, 2, p. 778); 8. 1959 « première phase de la reproduction des sons enregistrés » (Électron.). II. 1717 « discours, sermons » (Nouv. de la République des Lettres, p. 295 ds Barb. Infl., pp. 16-17); 1795 « conférence » (De La Tocnaye, Promenade autour de la Grande Bretagne, 194, ibid.) I empr. au lat. médiév. lectura « lecture, études, érudition, commentaire juridique » (xiveds Nierm.). II empr. à l'angl. lecture « conférence » (1536 ds NED), de même origine que le français.