| GRIFFONNAGE, subst. masc. Étymol. et Hist. 1. a) 1608 « écriture mal formée et illisible » (L'Estoile, Mémoires-Journaux, éd. G. Brunet, t. 9, p. 65); b) 1690 « dessin informe » (Fur.); 2. 1738 « ce qu'on rédige hâtivement, avec maladresse » (Piron, La Métromanie, I, 3 ds
Œuvres choisies, éd. J. Troubat, p. 133). Dér. de griffonner*; suff. -age*. |