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CLIENT, ENTE, subst.
Étymol. et Hist. A. 1. [1345 clienton (Ch. Bémont, Coutumier de l'Ile d'Oléron, XLVI, 82 ds Bulletin philologique et historique du Comité des Travaux historiques et scientifiques, Paris, 1917, p. 308)]; 1437 « personne qui confie ses intérêts à un homme de loi » (Cout. d'Anjou et du Maine, II, 94, B-B ds R. Hist. litt. Fr., t. 6, p. 458), qualifié de ,,un peu vieux`` par Rich. 1680; 1845 client (d'un médecin) (Besch.); 2. 1826 « personne qui achète » (Journal du maréchal de Castellane, Paris, Plon, 1895, pp. 126-127); spéc. 1832 « personne qui achète au même endroit régulièrement » (Raymond). B. 1. 1538 « personne qui se met sous la protection d'un seigneur qu'il doit aider dans certaines circonstances » (Est.); 2. 1543 antiq. rom. « citoyen pauvre qui se met sous la protection d'un patricien » (G. de Selve, Huict Vies ds Plutarque, Coriolan, 83 rods Hug.), répertoriés comme termes hist. dep. Fur. 1690. Empr. au lat. class. cliens, -entis « protégé d'un patronus », « individu ou peuple vassal chez les peuples celtes » en lat. médiév. « vassal » et « ministerialis, serviteur de la domesticité du maître » xies. ds Nierm.; dans son acception commerciale, client a remplacé pratique* et chaland*.