| BIEN-DISANT, ANTE, adj. ÉTYMOL. ET HIST. − 1. xiiies. « qui dit du bien » (Durmart le Galois, 13 802, dans R. Hist. litt. Fr., t. 5, 1898, p. 290); 2. 1552 la bien disante « habile à parler » (Pontus de Tyard, Solitaire premier dans ses Discours philosophiques, 29b, édit. 1587 dans Rom. Forsch., t. 32, p. 18); 1586 bien disant (E. Pasquier, Lettres, XXI, 2 dans Hug.). − Ac. 1694. Il vieillit et ne peut se dire que par raillerie.
Composé de bien* et de disant, part. prés. du verbe dire*. |