BASILIQUE2, adj. et subst.
Étymol. et Hist. Av. 1398 anat.
voigne baselique « veine de la face antérieure du bras » (
Consultation de Jean Le Fevre, medecin établi à Montpellier, sur le traitement de la goutte, éd. Paul Meyer, Notice d'un ms. messin dans
Romania, t. 15, p. 184, § 38 : Quant vos vous fereiz saingnieir, se lou faite dou bras senestre et de la
voigne commune que on appelle
baselique); av. 1590
veine basilique (
Paré, IV, 21 dans
Littré : Soudain tu presses le rameau venant de la cephalique, jusqu'à ce que suffisante evacuation de sang soit faite du foye par la
veine basilique ou hepatique). Empr. à l'adj. fém. gr.
β
α
σ
ι
λ
ι
κ
η
́ « royale », d'où « principale ».