| BARBOUILLAGE, subst. masc. ÉTYMOL. ET HIST. − 1. 1588 « griffonnage, récit mal fait, embrouillé » (Lett. de Mont. à Matign. dans Gdf. Compl. : Après beaucoup de barbouillage et de longueur), rare, mentionné à nouv. au xviiies. dep. Ac. 1718; 2. peint. a) 1611 « action de barbouiller, d'enduire de couleur » (Cotgr.); b) 1680 (Rich. : Barbouillage [...] Ouvrage de barbouilleur, méchante peinture).
Dér. du rad. de barbouiller* étymol. B 2; suff. -age*. |