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ASTROLOGUE, subst. masc.
ÉTYMOL. ET HIST. − 1. [xives. J. Corbichon ds Delb. Rec. d'apr. DG]; 1511 « astronome » (Lemaire de Belges, Schismes et Conciles, Prologue ds Hug. : La belle Couronne stellifere et l'Aigle de Jupiter, qui sont clers luminaires celestes, fixes et immobiles, comme tesmoignent les Astrologues seront luisantes au firmament tant que le mode durera) − 1611, Cotgr.; 2. 1532, 16 sept. « celui qui pratique l'astrologie judiciaire » (Avis reçus de Vienne, Nuremberg et Augsbourg, cité par Charrière, Négociations de la France dans le Levant, t. 1, p. 227 ds Dict. hist. Ac. fr. : Gaurin, astrologue, a pronostiqué à l'empereur que dès le 1erjusqu'au 15 d'octobre il aura temps heureux de se combattre contre le Turc, principalement le 5 octobre). Empr. au lat. astrologus, au sens 1, Ennius (Trag., 199 ds TLL s.v., 966, 82), au sens 2, Cicéron (Div., 1, 12, ibid., 967, 44). Le lat. est empr. au gr. α ̓ σ τ ρ ο λ ο ́ γ ο ς « astronome » (Xénophon, Mém., 4, 2, 10 ds Bailly), « astrologue » (Epicure, ibid.).