Police de caractères:

Surligner les objets textuels
Colorer les objets :
 
 
 
 
 
 

Entrez une forme

notices corrigéescatégorie :
APPOINTEMENT, subst. masc.
ÉTYMOL. ET HIST. − 1. 1388 « règlement, accomodement (dans un différend) » (Cart. de Flines, DCXCIX ds Gdf. Compl. : Il congneurent que dudit descort il en estoient en appointement); 1397 « jugement qui met fin à un procès » (Archives nationales, X ds Le saint voyage de Jherusalem du seigneur d'Anglure, éd. Bonnardot et Longnon, Paris, 1878, préf., p. LXXI : De la partie de noz amez Ogier d'Angleure, Jehan dit Salhadin d'Angleure, et de Gauchier d'Angleure, chevaliers, censors en ceste partie, nous a été exposé que comme ilz aient appellé a nous ou a nostre court de Parlement de certaine sentence, jugement, prononciation ou appointement faiz et donnés contre eulz civilement par nostre prevost ...), vieux dep. Ac. Compl. 1842; 2. 1573 p. méton. « ce qui a été convenu, salaire » (J. A. de Baif, Le Brave, II, 1 ds Gdf. Compl. : Il est arrivé quelque esclandre Leans, a ce que je puis entandre, Puis que ce vieillard tellement De ce mauvais apointement A menacé mes compagnons); fin xvies. plur. « gages » (Brantome, Grands capitaines estrangers ds Dict. hist. Ac. fr. t. 3, p. 446 : Il fallut payer ces reistres, qui montoient à plus de huict mille et force lansquenetz, puis au prince Cazimir il luy fallut donner pentions et appoinctemens excessifs). Dér. de appointer1* étymol. 1 et 3; suff. -ment1*.