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APPEL, subst. masc.
ÉTYMOL. ET HIST. − 1. Fin xies.-début xiies. dr. « recours à un juge supérieur » (Lois G. le Conquérant, 25 ds Gdf. Compl. : Il volge doner wage e trover plege a persuir soun apel); 2. a) ca 1172-75 « action d'appeler qqn de la voix, d'un signe, pour le faire venir » (Chr. de Troyes, Chevalier charrette, éd. M. Roques, 2351 : mes il voit bien a son apel Et a la pierre de l'anel Qu'il n'i a point d'anchantemant); b) fin xiies. p. ext. « action d'appeler par un signal des hommes à s'assembler, à se rassembler » (Perceval, I, 329 ds Gdf. Compl.); c) av. 1266 appeau « provocation, appel en duel » (Assises Jérusalem, ch. XCIV, ibid.), qualifié de ,,vieilli`` ds DG; d) xiiies. vén. « manière de sonner du cor pour appeler les chiens (à la chasse) » (La Chace dou cerf ds Nouv. Recueil Fabliaux, éd. A. Jubinal, I, 162); e) 1690 « action d'appeler à haute voix des personnes par leur nom afin de s'assurer de leur présence » (Fur.). Déverbal de appeler*.