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APOGRAPHE, subst. masc.
ÉTYMOL. ET HIST. − 1. Subst. a) 1670 « copie d'un écrit original » (Chapelain, Lett. II, 679 ds DG : [Les Suppléments de Tite-Live de Freinsheim] entiers et parfaits [...] sans que rien leur manque ni de l'autographe ni de l'apographe); d'où 1836 (Raymond, Suppl. au Dict. de l'Ac. fr. : Apographe. Sorte de nouvel instrument dont on se sert pour copier les dessins); b) 1838 Antiq. gr. (Ac. Compl. 1842) − 1928 (Lar. 20e); 2. adj. 1743 « qui est copié d'après un écrit original » (Journal des Sçav., 1743, in-12, p. 354 ds Trév. 1752 : Il est question en général des livres autographes et apographes de la Loi et des Prophétes, et de leur histoire). Empr. au gr. latinisé apographon au sens de « copie d'un tableau » dep. Pline, Nat., 35, 125 ds TLL s.v., 243, 66; transcription du gr. α ̓ π ο ́ γ ρ α φ ο ς « transcrit », Denys d'Halicarnasse (ca 30 av. J.-C.), Isée, 11 ds Bailly, d'où τ ο ̀ α ̓ π ο ́ γ ρ α φ ο ν « la copie », Cicéron, Att., 12, 52, 3, ibid.