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ANAPHORIQUE, adj.
Étymol. ET HIST. − 1. 1834 rhét. (Land. : Anaphorique. Période dont les membres commencent par le même mot); 1877 gramm. « qui appartient à une relation, relatif » (Oltramare, Rev. critique, 13 janv. 1877, p. 30 ds Littré Suppl. : l'emploi anaphorique n'est nullement, comme on l'admettait jusque-là, dérivé de l'emploi réfléchi); 2. 1838 méd. (Ac. Compl. 1842 : Anaphorique. Se dit des substances qui font rejeter par le haut). − 1897 (Nouv. Lar. ill.); 3. 1834 mécan. (Land. : Anaphorique. Qui se meut par l'eau). Empr. au gr. α ̓ ν α φ ο ρ ι κ ο ́ ς au sens de « qui rejette le sang, les humeurs » (Dioscoride, 2, 202 ds Bailly), à rapprocher de 2; terme de gramm. « relatif (en parlant des pronoms) » (Eustathe de Constantinople, ca 1180 apr. J.C., Il., p. 147, 7 ibid.). Le lat. anaphoricus est attesté dep. Vitruve, 9, 8, 8 ds TLL s.v., 17, 82 « qui marque le lever du soleil (d'une horloge) »; cf. gr. astron. « qui concerne le lever des astres », Hypsicles ds Bailly; cf. aussi anaphore* étymol. 4. Anaphoriquement, 1959, supra.