DAURADE, DORADE, subst. fém.
Étymol. et Hist. I. Ca 1525 
dorade (
A. Fabre, 
Le Voyage et navigation fait par les Espaignolz és Isles de Mollucques de A. Pigafetta [trad. de l'ital.], ff. 12 v
o-13 r
ods 
Arv., p. 101, 
s.v. bonite). 
II. 1550 
daurade (
A. Pierre, 
L'Agriculture de Constantin, 236 v
od'apr. A. Delboulle ds 
Romania, t. 31, p. 352).  I empr., par l'intermédiaire d'un texte ital., à l'esp. 
dorada, attesté dep. 1490 (Palencia d'apr. 
Cor., 
s.v. oro), lui-même issu, avec infl. de 
dorar « dorer », du lat. impérial 
aurata « dorade » (v. 
Arv., p. 214; 
REW3, n
o789). II empr. à l'a. prov. 
daurada (1397 ds 
Pansier).