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TYPHA, subst. masc.
BOT. Plante herbacée vivace de la famille des Typhacées, aquatique ou paludéenne, à fleurs très décoratives. Synon. usuels massette2, quenouille.L'eau était sans ride, couverte en certains endroits de nénuphars et de typhas (Reider, MlleVallantin, 1862, p. 164).Des matelas de fougère sèche recouverts d'une natte tissée avec les feuilles longues et flexibles du « typha », servaient de lits (Verne, Enf. cap. Grant, t. 3, 1868, p. 121).
Prononc.: [tifa]. Étymol. et Hist. 1784 (Bern. de St-P., Ét. nature, t. 2, p. 418). Empr. au lat. mod.typha, de même sens, gr. τ υ ́ φ η « espèce de varech » (d'où m. fr. 1552 [éd.] typhe « sorte de froment », Jehan Massé, L'Œuvre de Galien, fo49 rods Gdf., hapax; 1611 typhe « massette » (Cotgr.)).
DÉR.
Typhacées, subst. fém. plur.,bot. Famille de plantes monocotylédones de la classe des Aroïdées, comprenant des plantes aquatiques ou paludéennes à rhizome vivace, rampant, à tiges cylindriques, à feuilles alternes, linéaires, engaînantes à leur base, à fleurs monoïques disposées en épis simples (d'apr. Privat-Foc. 1870). Les Typhacées ont des fleurs sans périanthe, ou dont les pièces sont transformées en poils. Les inflorescences sont cylindriques avec des fleurs mâles au sommet et des fleurs femelles à la base (E. Tomanová, Plantes sauvages, Paris, Gründ, 1981, p. 13). [tifase]. 1reattest. 1808 (Encyclopédie Méthodique, Botanique, VIII, 158b ds R. Ling. rom. t. 41, p. 227); dér. sav. de typha, suff. -acées*.
BBG. Quem. DDL t. 9, 12.