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TRONCATURE, subst. fém.
A. − État de ce qui est tronqué; partie tronquée de quelque chose. L'occiput des poissons est comme une troncature verticale du crâne (Cuvier, Anat. comp., t. 1, 1805, p. 231).Aux approches du premier plateau, formé par la troncature du cône inférieur, les difficultés de l'ascension furent très-prononcées (Verne, Île myst., 1874, p. 87).
B. − MINÉR. Remplacement d'une crête ou d'un sommet d'un cristal par une facette. Troncature double, oblique, rationnelle, simple. Les cristaux sont généralement mâclés en forme de dodécaèdre hexagonal modifié par une troncature sur les angles latéraux, et terminé par les faces d'un pseudorhomboèdre (Des Cloizeaux, Propr. opt. biréfringentes, 1857, p. 63).
Prononc.: [tʀ ɔ ̃katy:ʀ]. Étymol. et Hist. 1. 1797 « partie tronquée d'une chose » la troncature de l'angle supérieur (Voy. La Pérouse, t. 4, p. 5); 2. 1808 minér. (Cuvier, Rapport historique sur les progrès des sciences naturelles, p. 18 [Verdière] ds Quem. DDL t. 12). Dér. sav. de tronquer*; suff. -ure1*. Fréq. abs. littér.: 12.