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SÉCHÉ, -ÉE, part. passé et adj.
I. − Part. passé de sécher*.
II. − Adjectif
A. − [Qualifie une chose, une substance] Que l'on a rendu sec, qui est devenu sec. Sang séché; boue séchée; feuilles séchées. Un encrier où l'encre séchée ressemblait à de la laque (Balzac,Illus. perdues, 1839, p. 255).Elle lui apportait un album plein de cartes illustrées, d'autographes, de fleurs séchées (Martin du G.,Thib., Pénitenc., 1922, p. 769).
ALIM., CONSERV. Qui a subi un traitement déshydratant afin de le conserver. Hareng séché; viande séchée des Grisons. Un peu d'huile de baleine et du poisson séché ou fumé, sont, avec quelques peaux d'ours ou d'élan, de bien petits articles d'exportation (Voy. La Pérouse, t. 3, 1797, p. 110).Il décroche le quartier de viande séchée qui est étroit et long, pas beaucoup plus gros qu'une saucisse (Ramuz,Derborence, 1934, p. 141).
B. − P. anal., vieilli. [Qualifie une pers.] Le comte Pfeffel, un petit vieillard, ratatiné, séché, nerveux, bilieux, ironique, ayant quelque chose du physique d'un diable malingre (Goncourt,Journal, 1872, p. 917).
Prononc.: [seʃe]. Fréq. abs. littér.: 521. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 682, b) 1 016; xxes.: a) 650, b) 697.