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SANDALE, subst. fém.
Chaussure légère composée d'une semelle, ayant parfois une empeigne avec ou sans quartier, attachée au pied de façon sommaire, généralement par des cordons de lanière. Sandales de bois, de cuir; pieds chaussés de sandales. Comme un esclave de Chaldée, quand il a donné à son maître sa coupe pleine et ses sandales brodées (Quinet, Ahasvérus, 1833, 4ejournée, p. 357).Elle laça autour de ses jambes des sandales aux hautes semelles (Beauvoir, Mandarins, 1954, p. 341).Secouer la poussière* de ses sandales.
Prononc. et Orth.: [sɑ ̃dal]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. Ca 1160 sandaires (Eneas, éd. J.-J. Salverda de Grave, 6396); ca 1170 sçandales (Guillaume de Saint-Pair, éd. P. Redlich, 1225). Empr. au lat. eccl.sandalium « id. (de femme) », du gr. σ α ν δ α ́ λ ι ο ν dimin. de σ α ́ ν δ α λ ο ν « sandale de bois, fixée par des courroies passant sur le pied ». Fréq. abs. littér.: 308. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 323, b) 801; xxes.: a) 381, b) 374.
DÉR.
Sandalier, -ière, sandaliste, subst.Personne qui conçoit, fabrique des sandales. [Un vieux] avait été débardeur, laitier, sandalier (Morand, Air indien, 1932, p. 61). [sɑ ̃dalje], fém. [-jε:ʀ]; [-ist]. Ac. 1798, 1835: -ier (id. ds Littré). Rob., Lar. Lang. fr.: -ier, -iste. 1resattest. a) 1680 (Rich.: Sandalier. C'est celui [religieux] qui fait les sandales), b) 1955 sandaliste (Mét.); de sandale, suff. -ier* pour a et -iste* pour b.
BBG. − Quem. DDL t. 16.