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PHYSIOGNOMONIQUE, adj. et subst.
I. − Adj. Relatif à la physiognomonie, à ses méthodes, à ses résultats. Sous ces habits noirs, larges, on pressentait un savant, et sans avoir de vastes connaissances physiognomoniques, l'avoué flaira quelque être extraordinaire (Champfl., Bourgeois Molinch., 1855, p.130).Nous ne tenons pas seulement pour parentes la considération psychologique et la considération physiognomonique, nous croyons qu'au fond elles sont identiques (Delay, Psychol. méd., 1953, p.156).
II. − Subst. fém. Théorie générale de la physiognomonie. La déduction transcendantale de la pluralité des personnes (...) n'est donc possible que par la dialectique de leur réciprocité, par cet échange psychologique des perspectives qui implique le rapport des consciences à un objet universel, par le passage de la physiognomonique à la symbolique (J. Vuillemin, Être et trav., 1949, p.135).
Prononc. et Orth.: [fizjɔgnɔmɔnik]. Att. ds Ac. 1835 et 1878. Étymol. et Hist. 1. 1721 «relatif à la physiognomonie» (Trév., Additions à la lettre P); en partic. 1806-07 «relatif aux théories modernes de la physiognomonie» (J. C. Lavater, Fragments physiognomoniques traduits par Moreau, 9 vol. ds Privat-Foc. 1870); 2. 1842 subst. «titre d'un traité attribué à Aristote» (Ac. Compl.). Empr. au gr. φ υ σ ι ο γ ν ω μ ο ν ι κ ο ́ ς «qui concerne l'art de la physiognomonie», en partic. τ α Φ υ σ ι ο γ ν ω μ ο ν ι κ α ́ titre d'un ouvrage d'Aristote (v. physiognomonie). Fréq. abs. littér.: 10.