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PAS-DE-PORTE, subst. masc. inv.
Somme que paye à l'occupant précédent l'acquéreur ou le locataire d'un fonds de commerce ou, plus rarement, d'un appartement, afin de pouvoir entrer dans les lieux. Confections ou tailleur ou pas de porte tout commerce, 18e, emplacement commercial 1erordre (L'Humanité, 19 janv. 1952, p.5, col. 4).Tout locataire de la SCTL [Société civile des terres du Larzac] devra libérer sa maison ou ses terres à l'âge de la retraite. «Ce qu'on veut surtout éviter c'est le pas-de-porte des commerçants», explique Guy Tarlier, le président de la Commission intercantonale (Le Monde, 13 juill. 1985, p.1, col. 4).
Prononc.: [pɑdpɔ ʀt], [pa-]. Étymol. et Hist.1. 1893 «somme payée par un commerçant pour la jouissance d'un local» (DG); 2. 1927 «somme demandée illégalement par l'ancien locataire au nouveau» (Le Matin, 19 mars ds Nyrop, Ét. gramm. fr., XVI, no2, p.18). Comp. de pas2*, de la prép. de* et de porte*. Bbg. Archit. 1972, p.80.