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OFFICIER2, subst. masc.
I.
A. − Personne qui a un office, qui exerce une fonction particulière, qui remplit une charge. Officier de justice; officier de Finances. Le directeur, le chancelier, et le secrétaire perpétuel de l'Académie française, sont les officiers de cette compagnie (Ac.1835, 1878).
B. − En partic., vieilli. Domestique de grande maison, préposé au service de la table; p. ext., domestique. C'est le meilleur des serviteurs pour le coeur, le zèle et la probité. Il se dit valet de chambre, et il est tout, il est maître d'hôtel, officier etc. etc. (Sénac de Meilhan, Émigré,1797, p.1712).Sous la conduite de M. Smithson, valetaille et menus officiers emplissaient des caisses énormes, que le duc avait fait fabriquer pour être prêt à toute aventure (Bourges, Crépusc. dieux,1884, p.22).Cette maison [d'un grand seigneur du début du XVIIIesiècle], montée sur le pied de trente-six officiers et domestiques et où il y a trente chevaux à l'écurie, ne coûte, en l'an 1700, que la somme de trente-huit mille neuf cent soixante-quinze francs (Goncourt, Journal,1894, p.549).
Au plur., vieilli. Personnel chargé de la cuisine et du service de la table, dans une grande maison. Hauts officiers; bas officiers; officiers commensaux. Il ne saurait donner à manger, car il n'a pas ici ses officiers (Ac.1798-1878).
C. − Spécialement
1. DROIT
a) DR. ADMIN.
Officier de l'état civil, d'état civil. ,,Personne chargée par la loi de tenir les registres officiels de l'état civil, d'y dresser et signer les actes, ainsi que d'en délivrer les copies et extraits`` (Cap. 1936). Nous soulignerions (...) l'acte écrit qui le [le mariage] constate, l'échange des consentements, l'intervention de l'officier de l'état civil (Vedel, Dr. constit.,1949, p.112).L'équipage [d'un navire] et les passagers constituent une société à l'égard de laquelle, son chef, le capitaine, exerce les attributions d'un officier public. C'est ainsi qu'il est officier d'état civil pour les naissances et les décès (M. Benoist, Pettier, Transp. mar.,1961, p.139).Le maire est officier d'état civil, chargé des mariages, et responsable de la tenue des registres de l'état civil (Fonteneau, Conseil munic.,1965, p.123).
Officier ministériel. Titulaire d'un office ministériel (v.office1I B 3 a α). Les brumairiens sanctionneront officiellement le coût de la procédure au profit des «officiers ministériels», rétablis au bénéfice de la bourgeoisie (Lefebvre, Révol. fr.,1963, p.577).Certaines incompatibilités et certaines interdictions limitent l'accession aux carrières commerciales: les fonctionnaires ne peuvent être commerçants, de même que les officiers ministériels en général (La Gde Encyclop., Paris, Larousse, t.15, 1973, p.3097).
Rem. Cap. 1936 souligne le caractère gén. de l'expr. dans l'usage cour. où elle s'applique à tous les titulaires d'offices publics et d'offices ministériels.
Officier municipal. V. ce mot B 1 a.
Officier public. Titulaire d'un office public (v. office1I B 3 a α). Les fonctions de cet officier public [un notaire] et ses devoirs d'état auraient dû lui conseiller un peu de réserve, un peu de dignité dans ses demandes (Reybaud, J. Paturot,1842, p.345).Vous mettez en suspicion la loi elle-même dans la personne des officiers publics chargés de l'exécuter (Becque, Corbeaux,1882, ii, 9, p.138).L'acte authentique est dressé par un officier public: notaire, officier de l'état civil, huissier, greffier, etc. (La Gde Encyclop.,Paris, Larousse, t.1,1971,p.121).V. supra ex. de M. Benoist, Pettier.
b) DR. PÉNAL. Officier de police judiciaire. ,,Fonctionnaire chargé de constater les infractions à la loi pénale, d'en rassembler les preuves et d'en rechercher les auteurs tant qu'une information n'est pas ouverte`` (Barr. 1974). Les gardes champêtres, les éclusiers, les officiers de police judiciaire, pourront constater également le délit spécifié en l'article 5, et ils transmettront leurs procès-verbaux au procureur du roi (Code pêche fluv.,1875, p.21).Officier de police judiciaire, il [le maire] doit assurer le bon ordre, la sécurité, la salubrité, l'hygiène, etc. (Fonteneau, Conseil munic.,1965, p.123).L'impunité des fonctionnaires (qui apparaît encore exceptionnellement au bénéfice des officiers de police judiciaire assimilés à des magistrats qui bénéficient du régime de quasi-irresponsabilité attaché aux décisions et au fonctionnement du service public de la justice) (Belorgey, Gouvern. et admin. Fr.,1967, p.236).
c) HIST. DU DR. Titulaire d'un office (v. office1I B 3 a β). On interdit pour un temps la chambre des comptes, ne laissant qu'un seul officier pour chaque office (Barante, Hist. ducs Bourg.,t.3, 1821-24, p.150).Bourgeois, nobles, vilains (...), officiers du Parlement et de la Chambre des comptes, officiers des gabelles, officiers de la monnaie (...) qui clament, qui sifflent (Bertrand, Gaspard,1841, p.51):
1. D'ailleurs le gouvernement ne tenait pas plus parole à ses officiers qu'à ses créanciers et après avoir attiré des acquéreurs par des concessions de droits, de privilèges, il ne se faisait point scrupule de les taxer pour être confirmés dans ces droits et privilèges... MarionInstit.1923, p.406.
2. HISTOIRE
a) Officier de la maison du roi. Titulaire d'une charge de la maison du roi. Le grand maître recevait le serment de beaucoup d'officiers de la maison du roi, et notamment de ceux des sept offices (MarionInstit.1923p.408).
Officier de la bouche (du roi). V. bouche II A 2 b.
Officier du commun. Officier chargé du service des tables de la maison royale à l'exception de celle du souverain. (Dict. xixes.).
Officier du gobelet. V. ce mot A.
b) Grand officier de la couronne. Titulaire d'un grand office de la couronne (v. office1I B 3 b β). Les grands officiers de la couronne étaient cousins du roi, tandis que les grands officiers de la maison du roi n'avaient point forcément ce titre (MarionInstit.1923, p.408).Grand officier de la Couronne, premier personnage de l'État après le roi, le chancelier est le chef inamovible de la magistrature et donc le responsable de la justice (La Gde Encyclop., Paris, Larousse, t.58, 1976, p.12413).
3. MÉD. Officier de santé. [Au xixes.] Personne qui était autorisée, après des études médicales courtes sanctionnées par des examens, à pratiquer la médecine sans être pourvue du diplôme de docteur, sous réserve d'exercer son ministère dans le département où elle avait reçu sa formation. Lorsqu'un officier de santé sera appelé auprès d'un malade, au commencement d'une fièvre maligne, il se gardera bien de débuter par la saignée (Geoffroy, Méd. prat.,1800, p.34).Il [Bretonneau] échoue à son troisième examen de doctorat, se contente du titre d'officier de santé et, en 1801, revient à Chenonceaux s'installer praticien de campagne (Bariéty, Coury, Hist. méd.,1963, p.611):
2. knock: Pardon! Mes études sont, en effet, toutes récentes. Mais mon début dans la pratique de la médecine date de vingt ans. le docteur: Quoi! Vous étiez officier de santé? Depuis le temps qu'il n'en reste plus? Romains, Knock,1923, I, p.5.
4. POLICE
a) Officier de paix. ,,Magistrat de police municipale ayant directement sous ses ordres les gardiens de la paix`` (Mét. 1955). Un officier de paix s'en allait seul, au milieu de la piste déserte (Zola, Nana,1880, p.1399).Les officiers de paix ont la même tenue que les agents de police, mais portent des galons aux manches ou au képi (Leloir1961).
b) Officier de police (apr. 1956). Synon. de inspecteur* (de police).Officier de police principal, officier de police adjoint. Le code pénal prévoit une peine pour tout officier de police ou magistrat qui contreviendrait à ces dispositions (Lidderdale, Parlement fr.,1954, p.105).
II.
A. − ARMÉE, MAR. Militaire ou marin détenteur d'un grade lui permettant d'exercer un commandement.
1. Titulaire d'un grade égal ou supérieur à celui de sous-lieutenant dans les armées de terre et de l'air et dans la gendarmerie ou à celui d'enseigne de deuxième classe dans la marine. Au nom de l'honneur, lui dit l'officier qui portait les épaulettes de colonel, restez ici en vedette (Stendhal, Chartreuse,1839, p.64).Il reçoit des directives de l'officier commandant la base aérienne de rattachement pour tout ce qui concerne le service du matériel, l'administration et la comptabilité (J.O.,Décret organ. arm. air, 1938, art. 21, p.439).Les officiers seront séparés de la troupe (De Gaulle, Mém. guerre,1954, p.434).
SYNT. Officier d'artillerie, d'aviation, de blindés, de cavalerie, de gendarmerie, d'infanterie; officier instructeur; officier d'état-major, d'ordonnance; officier de carrière, de réserve; officier en activité, en disponibilité, en retraite; officier sorti du rang; officier en civil, en tenue, en uniforme; galons d'officier; cantine, mess, popote des officiers; casser, dégrader un officier.
Col officier. Col caractéristique de la tenue d'officier. P. anal., MODE. Col officier. Col droit d'un vêtement. Costume en velours pour jeune fille (...). Le col officier en velours est masqué par un revers en astrakan (La Mode illustrée, 24 oct. 1909, p.497b ds Quem. DDL t.16).
Élève(-)officier. Élève d'une école d'officiers. Synon. aspirant.Il lui était revenu une plaisanterie détestable qui avait couru dans les états-majors. Elle consistait dans le dialogue suivant, que l'on supposait intervenir au cours d'un examen d'élèves-officiers (Romains, Hommes bonne vol.,1938, p.88).La solde des sous-officiers élèves officiers d'active est celle prévue pour les sergents-majors de l'échelle dans laquelle ils sont classés (Lubrano-Lavadera, Législ. et admin. milit.,1954, p.236).
Officier(-)général. Général ou amiral. Un homme de trente-cinq à trente-huit ans, vêtu d'un uniforme d'officier-général, portant cette double épaulette en torsade, signe des grades supérieurs (Dumas père, Monte-Cristo,t.1, 1846, p.607).À la tête de chacune des régions militaires du territoire est placé un officier général, assisté d'un État-major et de directeurs ou chefs de services; il exerce à la fois le commandement des troupes et le commandement territorial (J.O.,Loi sur organ. gén. arm., 1927, art. 7, p.7266).Chacune des régions aériennes est commandée par un officier général relevant directement du ministre de l'air (J.O.,Décret organ. arm. air,1938, art. 3, p.438).
Officier subalterne. Militaire titulaire du grade de sous-lieutenant, de lieutenant ou de capitaine dans les armées de terre et de l'air et dans la gendarmerie ou marin titulaire du grade d'enseigne ou de lieutenant de vaisseau. Les officiers subalternes protestèrent et se mutinèrent à l'arrivée de Masséna (Lefebvre, Révol. fr.,1963, p.521).
Officier supérieur. Militaire titulaire d'un grade égal ou supérieur à celui de commandant dans les armées de terre et de l'air et dans la gendarmerie ou marin titulaire d'un grade égal ou supérieur à celui de capitaine de corvette. Les officiers généraux et supérieurs devront être (...) transférés immédiatement en Palestine et installés honorablement (De Gaulle, Mém. guerre,1954, p.434).Un officier supérieur n'est pas nécessairement colonel, et tous les mortels ne sont pas hommes (Warusfel, Math. mod.,1969, p.37).
Officier de marine, de pont ou de vaisseau. Officier du corps de la Marine nationale, appelé à armer et à commander les bâtiments de guerre (d'apr. Gruss 1952). Pierre Robinault, (...) ancien officier de marine (Procès conspir. 1erConsul,t.1, 1801, p.6).Il était officier de marine; il était mort en mer (Radiguet, Bal,1923, p.57).
Officier de fortune. V. fortune C 2 a β.
2.
a) Bas officier (vieilli). V. sous-officier.
b) Officier marinier. V. ce mot II A.
c) Officier de santé (vieilli). Médecin militaire. Il y a [dans la marine], entre autres, des Officiers militaires et des Officiers civils; tels sont (...) parmi les seconds, les Officiers de santé ou du service de santé (Bonn.-Paris1859).Si les complices [d'un homme prévenu de s'être rendu impropre au service militaire] sont des docteurs en médecine, des officiers de santé ou des pharmaciens, les peines encourues pourront être portées au double (J.O.,Loi rel. recrut. arm.,1928, p.3823).
3. P. anal.
a) Officier de l'Armée du Salut. Responsable, membre de la hiérarchie de l'Armée du Salut. (Ds Rob., Lar. Lang. fr.).
b) Officier de la marine marchande. Inscrit maritime, titulaire d'un brevet de la marine marchande l'habilitant à assumer une tâche particulière dans la conduite d'un navire de commerce et en particulier à occuper un poste de commandement (d'apr. Mét. 1955). Le décret d'avril 1791 admettait l'officier de la marine marchande au grade d'enseigne après un an de service, à celui de capitaine après deux autres (Lefebvre, Révol. fr.,1963, p.398):
3. ... une Convention adoptée par la majorité des puissances maritimes a défini, en 1936, le minimum de capacité professionnelle exigible des capitaines et officiers de la Marine Marchande. (...) −Les officiers ont un uniforme, une hiérarchie. Ils sont régis par un code disciplinaire. Leur état, pour ces diverses raisons, comporte de nombreuses analogies avec l'état militaire. M. Benoist, Pettier, Transp. mar.,1961, p.140.
Officier de pont. Chacun des ,,officiers chargés de la navigation, y compris les radios, par opposition à «officier mécanicien»`` (Leclère 1960). Voir Peisson, Parti Liverpool, 1932, p.116.
B. −
1. Titulaire d'un grade dans un ordre honorifique. Au total, depuis sa fondation, le Mérite agricole a été décerné à trois cent mille chevaliers, plus de soixante mille officiers et deux mille sept cents commandeurs (L'Est Républicain,1 juill. 1983, p.20).
2. En partic.
a) Officier d'Académie. V. ce mot III B.
b) Officier de l'Instruction publique. Titulaire, dans l'ordre des palmes académiques, du grade immédiatement supérieur à celui d'officier d'Académie. Il portait, non sans ostentation, la rosette d'officier de l'Instruction publique (Benoit, Atlant.,1919, p.127).
c) Officier de la Légion d'honneur. Titulaire, dans l'ordre de la Légion d'honneur, du grade intermédiaire entre celui de chevalier (v. ce mot II A 2) et celui de commandeur (v. ce mot B 1). Rosette d'officier de la Légion d'honneur. Le colonel Soleille, après un mois de séjour au cabinet, fut fait officier de la Légion d'honneur (Gobineau, Corresp.[avec Tocqueville], 1851, p.161).Henry fut récompensé du grade de lieutenant-colonel et de la croix d'officier de la Légion d'honneur (Clemenceau, Vers réparation,1899, p.143).Le président Fallières tint à montrer en quelle haute estime il tenait le talent de Lecocq: il découvrit une rosette non attribuée, fit venir le maître à l'Élysée et lui donna l'accolade en le nommant officier de la Légion d'honneur (L. Schneider, Maîtres opérette fr.,Lecocq, 1924, p.244).
d) Grand officier de la Légion d'honneur. Titulaire, dans l'ordre de la Légion d'honneur, du grade immédiatement inférieur à celui de grand-croix (v. ce mot II C 1 a). Il prétendait que par la reine il me ferait nommer grand officier de la Légion d'honneur (Stendhal, L. Leuwen,t.3, 1835, p.140).Gaston Boissier, grand-officier de la Légion d'honneur (Benoit, Atlant.,1919p.268).
e) Officier de l'Ordre National du Mérite, officier du Mérite national. Titulaire, dans un ordre honorifique, du grade intermédiaire entre celui de chevalier et celui de commandeur. Doyen honoraire de la faculté, il est officier de la Légion d'honneur, du Mérite national, décoré de la médaille de la Résistance, des Palmes académiques (L'Est Républicain,15 oct. 1983, p.3).
Rem. gén. L'emploi d'un appellatif fém. devant officier est rare: On comprend qu'il y ait des dépressions nerveuses dans les rangs de mesdames les officiers de Police (Le Figaro, 7 mai 1971 ds Boel (E.), v. bbg. infra).
REM.
Officemar, offmar, subst. masc.,arg., synon. (supra IIA).Ô ma mère, regarde tes bleux, i'n'connaissent pa-zencore les offmars et les grands bonzes des états-major-muches! (Cendrars, Main coupée,1946, p.158).Elle va se ramener ici votre division? Avec les officemars et tout le bordel? (Sartre, Mort ds âme,1949, p.100).
Prononc. et Orth.: [ɔfisje]. Att. ds Ac. dep. 1798. Ac. 1798-1835: ,,il n'est que de trois syllabes``, alors que sous le verbe officier: ,,il est de quatre syllabes``. Même distinction ds Littré. Étymol. et Hist. A. 1327 «celui qui détient un office, une charge» (Cartulaires de Hainaut ds Monuments pour servir à l'hist. des provinces de Namur, de Hainaut et de Luxembourg, éd. L. Devillers, t.3, p.771); spéc. a) fin xives. officier de justice (Jean Froissart, Chron., L. II, 499, éd. G. Raynaud, t.11, p.305); b) 1470 officier d'armes «héraut» (doc. ds Arch. curieuses de l'hist. de France, t.1, p.29 ds Bartzsch, p.151); c) 1680 officier de santé «médecin, apothicaire, chirurgien» (Rich.); 1804 id. «médecin autorisé à exercer sans avoir le titre de docteur en médecine» (Code civil, art. 236, p.44); d) 1790 officier municipal (Robespierre, Discours, Pétit. peuple avign., t.6, p.592); e) 1804 officier de l'état civil (Code civil, L. 1, p.9); f) 1807 officier ministériel (décret du 16 févr. ds Les Codes fr., Paris, 1868, p.540). B. 1. 1529 «marin détenteur d'un grade lui permettant d'exercer le commandement» (Traité de paix avec Charles-Quint, in Rec. gén. des anc. lois fr., t.12, p.326 ds Quem. DDL t.12); 2.1704 «grade dans les ordres honorifiques» (Trév.). Empr. au lat. médiév. officiarius «personne pourvue d'une charge» (dep. xe-xies. ds Nov. gloss.), dér. de officium (office1*).
STAT.Officier1 et 2. Fréq. abs. littér.: 6595. Fréq. rel. littér.: xixes. : a) 10375, b) 8637; xxes.: a) 10778, b) 8083.
BBG.Boel (E.). Le Genre des noms désignant les professions et les situations fém. en fr. mod. R. rom. 1976, t.11, no1, p.41. _Quem. DDL t.16 (s.v. col officier).