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LOBAIRE, adj.
A. − Qui appartient à un lobe; qui y est relatif. Tuberculose lobaire. De nouvelles poussées de congestion surviennent et le malade succombe à l'asphyxie, la pneumonie lobaire succède à la congestion pulmonaire ou à la broncho-pneumonie purulente; elle évolue isolément ou en même temps que la pleurésie et la péricardite (Nocard, Leclainche, Mal. microb. animaux,1896, p. 450).Elles [les artères bronchiques] fournissent des ramifications aux bronches lobaires et lobulaires (G. Gérard, Anat. hum.,1912, p. 258):
1. ... deux formes anatomiques différenciées à la fois par le siège, l'aspect et l'évolution des lésions : la tuberculose parenchymateuse primitivement fermée et la tuberculose pyélitique primitivement ouverte. Dans la première, les lésions lobaires et surtout polaires sont circonscrites et enkystées, elle tendent à évoluer vers la transformation fibreuse, à l'oblitération rétractile et à la cicatrisation. Calmette, Infection bacill. et tubercul.,1920, p. 194.
B. − Qui est divisé en lobes :
2. Il en résulte la formation de petites cavités (...) qui s'agrandissent, deviennent des cavernes lobulaires, puis multilobulaires, puis lobaires [it. ds le texte], lorsqu'elles s'étendent à un ou plusieurs lobes. Calmette, Infection bacill. et tubercul.,1920p. 172.
Prononc. : [lɔbε:ʀ]. Étymol. et Hist. 1. adj. a) 1814 artères lobaires (Nysten); b) 1834 « divisé en lobes » (Jourdan); 2. subst. 1803 « plante de la famille des algues » (Anon., Nouv. dict. d'hist. nat.). Dér. de lobe*; suff. -aire*. Bbg. Höfler (M.). Une Source négligée de Landais... Fr. mod. 1969, t. 37, p. 38.