| ![]() ![]() ![]() ![]() LIBELLÉ,-ÉE, part. passé, adj. et subst. masc. I. − Part. passé de libeller* et emploi adj. Chèque, non détaché encore, mais tout préparé et ainsi libellé : « Payez à M. Léopold Charny... » (Bourget, Fille-mère,1927, p. 191).Qu'on affiche des programmes bien libellés, bien attirants (Becquet, Organ. loisirs travaill.,1939, p. 32). II. − Subst. masc. A. − Rédaction d'un acte, d'un écrit, en particulier dans des formes légales ou requises. Ce sont les valeurs que vous m'avez demandées. Le libellé vous en paraît-il défectueux? (Reybaud, J. Paturot,1842, p. 395).Chaque libellé de punition équivalait pour lui à un accouchement (Courteline, Train 8 h 47,1888, 1repart., 3, p. 30). B. − INFORMAT. Désignation en clair d'une donnée alphanumérique dans un programme ou sur un support de sortie. Dans l'instruction « si x = 0 imprimer faute », le mot faute est un libellé (ScomInformat.1977). Prononc. : [libεl(l)e] et [-bele]. Étymol. et Hist. V. libeller. Fréq. abs. littér. : 39. Bbg. Gohin 1903, p. 291. - Quem. DDL t. 16. |