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INVALIDATION, subst. fém.
I. − DR. [Correspond à invalider I] Action de rendre ou de déclarer invalide parce que légalement nul, non conforme aux conditions requises pour produire son effet. L'invalidation d'un acte (Ac.1935).
P. anal., domaine du dr. publ.Invalidation d'une élection (Ac. 1935). Action de déclarer une élection, une procédure non conforme aux conditions requises, légalement nulle, pour irrégularité ou vice de forme. Invalidation des opérations électorales (Guérin1892).
[P. méton.] Invalidation d'un député. (Dict. xxes.). L'invalidation, je ne connais que ça! Invalidons nos confrères qui nous gênent (Tam-Tam, [18]76 ds Larchey, Dict. hist. arg., 1878, p. 374).L'attitude des journaux parlementaires annonçait de nombreuses invalidations. Élu à une faible majorité et pourchassé par d'innombrables rancunes, l'ancien reporter se jurait de se maintenir (Barrès, Appel soldat,1900, p. 445).
II. − MÉD., rare. [Correspond à invalider II] Action d'invalider; résultat de cette action. Sa piqûre entraîne une réelle invalidation du sujet (Brumpt, Parasitol.,1910, p. 507).
Prononc. et Orth. : [ε ̃validasjɔ ̃]. Att. ds Ac. dep. 1878. Étymol. et Hist. 1636 (Monet). Dér. de invalider*; suff. -(a)tion*.