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HAUT2, subst. masc.
A. − Dimension verticale déterminée, de la base au sommet. Synon. altitude, hauteur, élévation.
De haut (précédé d'un nombre). x coudées, lieues, mètres, pieds, pouces, toises de haut.
Loc. verb. Tomber de (tout) son haut, Tomber de toute sa hauteur, tomber à terre de tout son long. On m'avait affublé d'un chapeau haut de forme (...). Celui qui recevait les cartes faillit tomber de son haut et me chercha sous mon chapeau (Vallès, J. Vingtras, Enf., 1879, p. 47).
Au fig. Tomber de son haut (vieilli). Être vivement surpris, stupéfait. Synon. tomber des nues, tomber à la renverse, tomber de haut (cf. haut1II G 1).Je n'ai jamais ouï d'absurdités pareilles! Je tombe de mon haut! (Augier, Aventur.,1848, I, p. 181).Vous avez, vous autres hommes, une si petite opinion des femmes, que vous tombez de votre haut si vous leur entendez dire un mot qui ait le sens commun (Feuillet, Scènes et prov.,1851, p. 190).
B. − Position déterminée sur la verticale.
1. Le haut (entité abstr.). Elle ordonne aux roseaux de saluer, joyeux Et satisfaits, l'arbre superbe; Car l'équilibre c'est le bas aimant le haut (Hugo, Légende, t. 4, 1877, p. 129).
Le vent du haut (cf. haut1I A 4 a).Le temps un peu couvert se leva, le vent du haut chassa les nuages (Balzac, Début vie,1842, p. 360).
2. De haut
a) [Précédé d'un nombre] Voler, planer à x mètres de haut.
b) Au fig. D'une autorité supérieure. Synon. d'en haut (cf. haut1).Ordre qui vient de haut.
3. Ce qui est élevé (moralement, socialement, intellectuellement, etc.), ce qui est excellent. Le christianisme (...) qui a fait voir le haut et le bas de notre cœur (Chateaubr., Génie, t. 2, 1803, p. 376).
C. − Partie supérieure d'une chose ou d'un être (corps ou partie du corps).
1. En emploi abs. Le haut, dans le haut, du haut, vers le haut; caisse portant la mention : haut, bas, fragile; se courber, dirigé, plus large, tourné, tiré vers le haut. Et elle s'abritait du soleil, sous une ombrelle de satin lilas, pointue par le haut comme une pagode (Flaub., Éduc. sent., t. 2, 1869, p. 2).La salle était très élevée du haut par des soupiraux presque entièrement bouchés de plantes (Malraux, Espoir,1937, p. 509).
MUS. Le haut. La partie haute, les notes hautes ou le registre élevé de la voix. Synon. l'aigu; anton. le bas, le grave, le médium.Mais quelles désagréables voix, celles du haut aigres, celles du bas aboyantes [à la Chapelle Sixtine] (Taine, Voy. Ital., t. 1, 1866, p. 124).Hautbois. Instrument des impressions champêtres, des joies paisibles et pures, pathétique dans le haut, sourd dans le grave (Rougnon1935, p. 250).
2. Le haut de + subst. concr.Le haut du front; le haut d'un tableau; le haut d'une page (synon. tête). À Fribourg en Brisgau (...) des villageoises avaient (...) les cheveux jaunes et ternes retroussés durement et tirés vers le haut de la tête (Taine, Philos. art, t. 1, 1865, p. 233).Et l'éclat aveuglant des murs des métairies Semble gagner le haut du ciel. Il est midi (Jammes, Prem. livre quatrains,1923, p. 40).
Le haut du village, de la ville, du bourg. La partie élevée. Un logis situé à Saumur, au bout de la rue montueuse qui mène au château, par le haut de la ville (Balzac, E. Grandet,1834, p. 5).Les gens riches qui habitent le haut de la ville [Genève], vers la promenade de la Treille (Stendhal, Mém. touriste, t. 2, 1838, p. 271).
Le haut d'un fleuve. La partie supérieure située vers la source.
SYNT. Le haut du/d'un bras, du corps, de la/d'une cuisse, de la gorge, des joues, de la poitrine; le haut d'une chemise, d'un corsage, d'un veston; le haut d'une armoire, d'une cheminée, d'une façade, d'une fenêtre, d'une glace, d'un lac, d'un omnibus, du perron, du pont.
Spécialement
COMM. (Produit de) haut de gamme. Produit qui, dans sa catégorie, offre la meilleure qualité. Ces boutiques proposent plutôt des hauts de gamme (500 à 1 200 francs la robe ou le deux pièces) (Le Monde,29 mars 1978).
IMPR., TYPOGR. Haut de casse*. Partie supérieure de la casse. Anton. bas de casse*.Dans le haut de casse (...) se trouvent les lettres employées moins souvent (Maire, Manuel biblioth.,1896, p. 304).Le haut de casse aux majuscules, petites capitales, etc. (Chautard 1937).
MAR. Les hauts d'un navire. La partie émergée; celle qui est au-dessus du premier pont. Synon. (pour le sing.) accastillage, (pour le plur.) mâture, coque.
BOUCH. Haut(-)de(-)côtelette. Morceau de viande (mouton, veau) situé entre les carrés de côtelettes et la poitrine de la bête. Elle faisait, ce soir-là, un ragoût de mouton avec des hauts de côtelettes (...). Les hauts de côtelettes revenaient dans un poêlon (Zola, Assommoir,1877, p. 467).
GASTR. Haut de cuisse (d'une volaille). Partie correspondant à la cuisse et qui précède la jambe, dite cuisse ou pilon. Coupeau se fâcha et servit un haut de cuisse à Virginie (...). Est-ce que l'oie avait jamais fait du mal à quelqu'un? (Zola, Assommoir,1877p. 578).
HABILL. Le haut (d'une robe), un haut (de robe). La partie située au-dessus de la taille. Synon. corsage.Au cou frêle encore flambait une cravate ponceau dont le gros nœud se renflait sur le haut d'une robe noire (Verlaine, Œuvres compl., t. 4, L. Leclercq, 1886, p. 136).Ces hauts de robe de mousseline ou d'organza accompagnent le soir d'amples jupes de faille ou de faille-shantung (Jardins des modes,avr. 1951, p. 57).
D. − La partie la plus haute, le point culminant. Synon. sommet.
1. En emploi abs. Arriver au haut. Synon. usuel en haut.
Loc. fig., fam., vieilli. Gagner le haut. S'enfuir.
2. Le haut de + subst. concr.Le haut d'une côte, d'un clocher, de la rue, du boulevard, des Champs-Élysées. J'étais dans le haut de la rue Notre-Dame-de-Lorette (Verlaine, Œuvres compl., t. 4, Mém. veuf, 1886, p. 242) :
À vous gloire, Seigneur qui m'avez pas à pas Amené sur le haut de la colline sainte Où le juste s'assure et vous aime sans crainte. Verlaine, Poèmes div.,1896, p. 779.
Le haut d'un fleuve, de la mer (rare). La partie la plus profonde. Prends le bas du pavé, drôle! Richard (descendant) : Oui, monseigneur (s'en allant). Tu prendras le haut de la Seine, toi, quelque jour (Dumas père, Tour Nesle,1832, III, tabl. 5, 2, p. 48).Un jour le fol vit, du haut de la mer, accourir une belle nef (Kahn, Conte or et sil.,1898, p. 97).
En partic., vieilli ou région. (Berry notamment). Le haut du jour. Midi environ, l'heure où le soleil à son apogée est le plus chaud ou le plus ardent. Elle dira très-bien en parlant de la pesanteur, de la chaleur et de la lourdeur accablante du midi : « Le silence du gros du jour en juin (...) ». Dans le Berry on dit non pas le gros du jour, mais le haut du jour; ce qui n'est pas moins expressif (Sainte-Beuve, Nouv. lundis, t. 9, 1865, p. 264).
Loc. verb. fig. Tenir le haut du pavé*. Atteindre le haut de l'échelle; grimper au plus haut degré de l'échelle (cf. ce mot C 1).
SYNT. (Atteindre) le haut des branches, d'une cascade, du ciel, d'un coteau, du crâne, d'une falaise, d'une montagne, d'un monticule, du mur, de la pente, du plateau, d'un rempart, d'un rocher, de la tête, des tours, de la montée; juché, perché, placé sur le haut de (qqc.).
3. Du haut de + subst. concr.De l'endroit élevé de; du sommet de. Du haut des tours de Notre-Dame; du haut des cieux, des airs; rouler du haut d'un escalier. Le long du fleuve, un peuple d'enfants s'amuse à plonger du haut de la berge (Gide, Voy. Congo,1927, p. 713).
Du haut du ciel (au fig.). L'âme s'élève à Dieu à travers et avec toutes ces supplications. Il m'a bien semblé que du haut du ciel Jésus-Christ et la sainte Vierge me bénissaient (Dupanloup, Journal,1873, p. 343).
SYNT. Apercevoir, contempler, regarder, voir du haut de; glisser, jeter, lancer, (se) précipiter, rouler, tomber, verser du haut de.
Loc. fig., fam. (Regarder, traiter, juger qqn) du haut de sa grandeur. Avec mépris, avec condescendance ou avec indifférence. Cf. grandeur I A 1.
P. anal. (Regarder, toiser qqn) du haut de sa gloire, du haut de son piédestal, du haut de son trône, du haut de leur supériorité; du haut de sa condescendance, de sa science, etc. D'abord je suspectais le major de vouloir me sonder pour me juger du haut de son savoir (Sand, Nouv. lettres voy.,1876, p. 298).
4. Au haut de + subst. concr.Dans la partie la plus élevée de; au sommet de; au dernier étage de. Synon. usuel en haut de.Il s'est mis à grimper devant moi presque au haut d'un petit arbre (Gide, Journal,1914, p. 495).
SYNT. (Apparaître, arriver, déboucher, parvenir) au haut des airs, d'un arbre, du bourg, des branches, de la butte, de la côte, des cieux.
E. − En partic. [En corrélation avec bas]
1. Loc. verb. Évacuer par le haut et par le bas. Synon. aller par haut et par bas.Cf. bas1II A 2.Avoir des hauts et des bas. V. bas111 C 2 c ex. 60.
2. Loc. adv. et prépositives
Du haut en bas, loc. adv. Synon. de haut en bas.Nettoyer, visiter une maison du haut en bas; se fendre du haut en bas. Elle frappait sur les touches avec aplomb, et parcourait du haut en bas tout le clavier sans s'interrompre (Flaub., MmeBovary, t. 1, 1857, p. 46).Il finirait à l'hospice, couché dans son immondice et paralysé du haut en bas (Audiberti, Quoat,1946, 2etabl., p. 67).
Du haut en bas de, loc. prépositive. Du haut en bas de l'échelle. C'était du haut en bas de la colline le même grouillement vivant, le même ciel bleu brûlait par delà les toits (Beauvoir, Mandarins,1954, p. 87).Tandis (...) que bruissaient du haut en bas de l'immeuble les visiteurs du dernier moment et que sonnaient sans arrêt des téléphones désespérés (De Gaulle, Mém. guerre,1954, p. 51).
Rem. 1. De haut en bas ne forme pas de loc. prépositive, alors que du haut en bas de est bien vivant. 2. De haut en bas est d'un emploi plus fréq. que du haut en bas dans l'accept. regarder, traiter qqn de haut en bas (au fig.).
SYNT. Du haut en bas de son perchoir, de l'édifice, des escaliers, des étages, des murailles, de la voix, de l'État, de la nation, de la hiérarchie, de la société.
Du haut jusques en bas, loc. adv. (p. allus. à Molière, Tartuffe, III, 2).
F. − Dans le domaine géographique
1. Vx ou région. (Suisse notamment). Terrain élevé; étages supérieurs de la montagne. Synon. butte, élévation, éminence, hauteur.On rencontre tout à coup dans les hauts du Père-Lachaise un tombeau gothique (Stendhal, Mém. touriste, t. 1, 1838, p. 275).De la vieille et curieuse petite cité (...) ils (...) remontèrent vers les hauts de forêts et de plaines qui sont la parure du « jardin de la France » (L. Daudet, Bacchantes,1931, p. 83).
2. Usuel. Les Hauts de Meuse, de Moselle. Collines dominant la Meuse, la Moselle. Synon. côtes.De longues balafres, tranchées mal comblées, barbelés rouillés, halliers poussés au hasard accompagnent le Chemin des Dames, les Hauts de Meuse ou les sommets du Linge (Meynier, Paysages agraires,1958, p. 146).Les Hauts-de-Seine. Département de la région parisienne.
Prononc. et Orth. : [o] init. asp. : le haut. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. I. Adj. A. 1. Fin xes. « qui est élevé, d'une dimension verticale considérable » alta cruz (Passion, éd. D'Arco Silvio Avalle, 226); ca 1100 halt (Roland, éd. J. Bédier, 814); ca 1165 en parlant d'une pers. (Benoît de Ste-Maure, Troie, 5255 ds T.-L.); 2. a) 1119 « qui est dans une position élevée, ici en parlant des astres » (Philippe de Thaon, Comput, 2509, ibid.); b) 1625 « qualifie la partie d'un pays la plus éloignée de la mer ou plus élevée que l'autre » (Le Grand dict. fr.-lat., J. Stœr ds FEW t. 24, p. 367b); c) 1694 « qualifie la partie d'un cours d'eau la plus proche de sa source » (Ac.); 3. ca 1121 mer halte « endroit où la mer est profonde, le large » (St Brendan, éd. E.G.R. Waters, 1646). B. 1. a) Ca 1050 « élevé dans l'échelle des valeurs » de halt parentét (Alexis, éd. Chr. Storey, 41); b) ca 1200 halte curt « cour plénière » (Chanson de Guillaume, éd. D. McMillan, 1967); en partic. 1791, 5-13 mars « tribunal d'exception pour certains crimes politiques » (Décret [Duvergier, t. II, p. 289] ds Brunot t. 9, p. 637, note 5); 2. a) ca 1100 « très grand à quelque titre que ce soit » paroles haltes « nobles, fières » (Roland, 1097); b) 1493 [éd.] « qui atteint un niveau intellectuel ou moral élevé » haute vie... haultes vertus (Chron. de St Denis, t. 1, fo126 ds Littré); c) 1649 haute trahison (I. Ango, Récit véritable, p. 11 ds Mack. t. 1, p. 74); 3. a) ca 1100 « qui atteint un niveau d'intensité élevé; sonore » voiz grand e halte (Roland, 2985); b) ca 1100 « aigu (d'un son, d'un instrument) » haltes menees (ibid., 3310); cf. 1467 haulz et bas instrumens (Chron. scandaleuse, éd. B. de Mandrot, t. 1, p. 177); 4. 1531 [éd.] « qui a de l'éclat » haute couleur (Percef., IV, fol. 2b ds La Curne); 1538 haut en couleur « coloré » (Est.); 5. 1538 « qui atteint une valeur, un prix élevé » (ibid.); 6. av. 1715 « relevé, fort » haut goût (Fénelonds Lar. Lang. fr.). C. 1267 [ms.] « tardif, tard » au plus haut le jor (Comput, 104, 51 ds T.-L.). II. Adv. 1. ca 1100 « à un degré élevé sur le plan sonore » s'escriet mult halt (Roland, 3334); 2. 1119 « en position haute » halt levees (Philippe de Thaon, Comput, 2534 ds T.-L.); 3. ca 1145 « à un degré élevé de l'échelle sociale » (Wace, Conception N.D., 588, ibid.); 4. 1160-74 « en un point élevé » haut... voler (Wace, Rou, éd. A.J. Holden, III, 601); en partic. 1267 [ms.] haut pendue (Id., Vie S. Marg., Ms. A, 175 ds T.-L.); 5. fin xives. « tard dans l'année » (d'une fête) escheirent les Paskes si hault (J. Froissart, Chron., éd. S. Luce, III, 7); 6. 1408, 3 sept. « à un degré élevé sur l'échelle des valeurs, des prix » au plus hault offrant (Tut. des biens de Haquinet, A. Tournai ds Gdf. Compl.). III. Loc. adv. 1. en halt, ca 1120 « dans le lieu qui est le plus élevé » (Philippe de Thaon, Bestiaire, 1685 ds T.-L.); 2. de haut, ca 1170 « d'un endroit élevé » (Béroul, Tristan, éd. E. Muret4, 730 : chaï de haut); fig. 1821 voir les choses de plus haut (Hugo, Lettres fiancée, p. 80); 3. de haut en bas 1268 saillir de haut en bas « descendre » ici au fig. « tomber dans le malheur » (Claris et Laris, 3910 ds T.-L.); 4. là-haut 1553 « dans le ciel » (Bible Gérard, Psaume 93b). IV. A. Subst. masc. 1. 1170 « hauteur, dimension verticale » (Chrétien de Troyes, Erec et Enide, éd. M. Roques, 6657); ca 1170 vint piez de haut (Marie de France, Lais, éd. J. Rychner, Yonec 339); 2. fin xiies. « partie haute d'une chose » El haut de la forest (Guingamor 410 ds T.-L.); en partic. 1676, 8 janv. mar. subst. plur. (Relation anonyme du combat de Lipari; Arch. de la Mar., dossier du Quesne ds Jal); 3. xves. « ce qui est élevé sur le plan moral, intellectuel ou social » (Les Repues franches de Fr. Villon et de ses compagnons [attribuées à Villon], L'Acteur ds Œuvres, éd. L. Jacob, p. 255 : Congnoissant les hauts et les bas). B. Subst. fém. 1821 arg. « fraction supérieure (d'une corporation, d'une société) » pègre de la haute « voleur du premier rang » (Ansiaume, Arg. bagne Brest, fo10 vo, § 242); cf. 1854, 2 août une femme de la haute (Mérimée, Lettres à une inc., t. 1, p. 339). I du lat. class. altus « haut, élevé » au propre et au fig.; « profond, reculé »; croisé en domaine d'oïl avec l'a. b. frq. *hauh, *hôh en face des autres représentants romans sans h- (a. prov. alt, aut, xiie-xves. ds Rayn.; ital. alto; esp. port. alto; cat. alt, v. FEW t. 24, p. 375b). Il est difficile de se fonder sur quelques formes sans aspiration attestées du xeau xives. (ds Gdf. Compl. et Littré) dans des textes provençalisés (Passion), italianisés (Roland de Châteauroux) ou anglo-norm. (Quatre Livres des Rois) pour mettre en doute l'ancienneté de ce croisement. On refusera donc l'hyp. proposée par A. Greive (ds Etymologische untersuchungen zum französischen h aspiré, Heidelberg, 1970) et acceptée par le FEW, loc. cit., d'une aspiration introduite secondairement en a. fr. pour assurer la non-élision de l'art. devant aut et par là même isoler le monosyllabe à l'intérieur de la chaîne parlée. II et III, emplois adv. de I. IV, emploi subst. de I. Fréq. abs. littér. : 32 112; Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 42 229, b) 52 894; xxes. : a) 50 967, b) 41 539. Bbg. Foulet (L.). L'Effacement des adv. de lieu. Romania. 1946, t. 69, pp. 65-77. - Quem. DDL t. 16.