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GARDERIE, subst. fém.
A. − EAUX ET FORÊTS
1. Action, fait de garder une étendue de bois [pour un garde-forestier, un agent des eaux et forêts]. L'avance du propriétaire se limitera alors à l'achat du terrain et aux frais annuels de garderie et d'assurance du personnel employé à cet effet (Industr. fr. bois,1955, p. 26).
2. P. méton. Étendue ainsi surveillée. J'aimerais mieux (...) que vous lui permissiez de ramasser un peu de bois sur votre garderie (A. Dumas père, Forestiers,1865, III, p. 210).
B. − ÉDUC. Garderie (d'enfants). Action, fait de garder des enfants; établissement qui accueille des enfants en bas âge. Chaque matin, il lui faut mener ses enfants à la garderie, et, le soir, aller les chercher (Renard, Journal,1905, p. 1024).
Prononc. et Orth. : [gaʀdə ʀi]. Ds Ac. 1932. Étymol. et Hist. 1. 1832 « étendue de bois que surveille un seul garde forestier » (Raymond); 2. 1872 « école, local où l'on garde les enfants en bas âge » (Littré Add.). Dér. de garder*; suff. -erie*; cf. aussi ca 1540 garderye « action de garder, garde » (La Mere de ville, 278 ds Recueil général des sotties, éd. É. Picot, t. 3, p. 117); 1611 [éd.] (B. de Vigenère, De la vie d'Apollonius thyanien [trad. de Philostrate] t. 1, p. 437 : les cours, salles, chambres et garderies). Bbg. Lew. 1960, p. 112.