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DÉCRUE, subst. fém.
HYDROL. Diminution du volume des eaux consécutivement à une crue. Après la décrue du fleuve, lorsque les eaux baissent (Zola, Fécondité,1899, p. 739).
P. métaph. Les maisons à droite et à gauche du palais [à Irun] sont régulières; à gauche il y a une décrue rapide (Stendhal, Mém. touriste,t. 3, 1838, p. 135).L'appauvrissement du sang, la décrue progressive de la vitalité française (Rolland, J.-Chr., Maison, 1909, p. 983).
Prononc. et Orth. : [dekʀy]. Ds Ac. 1835-1932. Étymol. et Hist. 2emoitié xvies. « action de baisser de niveau (en parlant des eaux) » (Du Pinet ds Delb. Rec. ds DG), attest. isolée; à nouv. en 1808 au sens gén. de « diminution » (Boiste); 1835 « quantité dont une masse d'eau a décru » (Ac.). Part. passé fém. substantivé de décroître*. Fréq. abs. littér. : 10. Bbg. Gohin 1903, p. 312.