Police de caractères:

Surligner les objets textuels
Colorer les objets :
 
 
 
 
 
 

Entrez une forme

options d'affichagecatégorie :
DÉBOUTONNÉ, ÉE, part. passé et adj.
I.− Part. passé de déboutonner*.
II.− Emploi adj.
A.− [Appliqué à un vêtement] Dont les boutons sont défaits. Les brides des bonnets défaites, les petits manteaux déboutonnés dans le feu des jeux (Triolet, Prem. accroc,1945, p. 283).
Loc., p. ell. Manger, rire à ventre déboutonné. Tout à son aise. Conviés à rire, ils riaient. Sans malice, à ventre déboutonné (L. Febvre, Combats pour hist.,Homme, légende, œuvre, 1931, p. 253).
B.− P. méton. [Appliqué à une pers. ou à une propriété hum.]
1. Sens physique. J'étais un peu déboutonné, je me ressangle (Ponchon, Muse cabaret,1920, p. 269).
2. Au fig. Qui s'exprime librement, sans contrainte ou sans retenue. Le dimanche soir tous les soupirs, les émotions, les impatiences, sont déboutonnés (Céline, Voyage,1932, p. 371).
Fréq. abs. littér. : 76. Bbg. Gottsch. Redens. 1930, p. 153.