| ![]() ![]() ![]() ![]() CONTRE-CŒUR, subst. masc. A.− Vieilli. Mur du fond de la cheminée; p. ext. plaque de cheminée. (Quasi-) synon. taque.Réparations à faire, aux âtres, contre-cœurs, chambranles et tablettes des cheminées (Code civil,1804, art. 1754, p. 319). B.− Paroi(s) latérale(s) de la cheminée (cf. E. Robinot, Vérif., métré et pratique trav. bât., t. 5, 1928, p. 8). Prononc. et Orth. : [kɔ
̃tʀ
əkœ:ʀ]. Avec un trait d'union ds Ac. 1718-1878; cf. aussi ds Land. 1834, Gattel 1841, Nod. 1844, Besch. 1845, Lar. 19e-20e, Littré, DG et Guérin 1892. En 1 seul mot ds Ac. 1694; cf. aussi Fér. Crit. t. 1, 1787 (à comparer avec la loc.), Rob., Quillet 1965, Lar. encyclop. et Lar. Lang. fr. Cf. contre-. Étymol. et Hist. xiiies. contrecuer (Tarif de Tonlieu, Arch. du chap. de S. Omer, II, G. 1899, pièce 82 ds Gdf. Compl.). Composé de contre-* et de cœur* « partie centrale de quelque chose ». Bbg. Lew. 1960, p. 135. − Quem. 2es. t. 4 1972. |