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CAPTURÉ, ÉE, part. passé et adj.
I.− Part. passé de capturer*.
II.− Emploi adj. [En parlant d'un animé, d'un inanimé (navire, p. ex.)] Fait prisonnier, dont on s'est emparé, généralement avec des moyens violents. Maître d'un hibou capturé (Pesquidoux, Chez nous,1923, p. 207).
P. métaph. Bonheur capturé et en lieu sûr, qui ne s'échapperait plus (Proust, Du côté de chez Swann,1913, p. 229).
Au fig. [En parlant d'une pers.] Qui est séduit moralement, intellectuellement, d'un point de vue sentimental, parfois jusqu'à l'asservissement :
Quand on ne fait pas de constants efforts pour garder sa liberté d'esprit, on se trouve bientôt envahi et capturé. C. Bernard, Principes de méd. exp.,1878, p. 223.
Rem. On rencontre ds la docum. un emploi subst. masc. de ce mot (cf. A. Arnoux, Paris-sur-Seine, 1939, p. 232). Homme fait prisonnier.
Fréq. abs. littér. : 100.