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CANOË, subst. masc.
Embarcation légère manœuvrée à la pagaie ou à la rame qu'on utilise pour la descente des rivières au cours rapide. Le canoë a remis en honneur les rivières de France abandonnées (Morand, Excursions immobiles,1944, p. 75).
En composé, SP. Le canoë-kayak. Ces embarcations qui se sont alliées pour donner naissance au sport contemporain du canoë-kayak (Jeux et sp.,1968, p. 1536).
Rem. On rencontre ds la docum. le subst. canoéiste, sp. Celui ou celle qui pratique le sport du canoë. Les petites plages se couvraient de baigneurs et le fleuve adouci, faute de pluies, faisait bon accueil aux canoéistes (Morand, Les Extravagants, 1936, p. 60).
Prononc. et Orth. : [kanɔe]. Dub. transcrit [o] fermé [kanoe]. Écrit avec é accent aigu : canoé ds Guérin 1892; sans accent ds Nouv. Lar. ill. : canoe. À partir de Lar. 20e, le mot porte le tréma : canoë (cf. Lar. 20e, Rob., Lar. encyclop., Dub., Quillet 1965, etc.). Étymol. et Hist. [1867 ds FEW t. 20, p. 60 b; ne semble pas figurer ds Lar. 19e]; 1888, nov. (Aviron, p. 45, c. 1 ds Bonn. : Dans aucun pays du monde, le sport du canoë n'est pratiqué avec autant d'ardeur qu'en Amérique). Empr. à l'anglo-amér. canoe (1719) antérieurement canoa (1555), puis can(n)ow(e) (xvie-xviies., NED); la forme canoe est due à l'infl. du fr. canoe; l'angl. est empr. à l'esp. canoa, v. canot. Fréq. abs. littér. : 4. Bbg. Becker 1970, p. 89, 334. − Behrens Engl. 1927, p. 224. − Bonn. 1920, p. 23. − Goug. Mots t. 1 1962, p. 32. − Kemna 1901, p. 218.